L’histoire du Maroc est tissée dans l’ambition, la résilience, la vision à long terme et l’ouverture sur l’autre, a déclaré Mme Fettah lors d’une réunion avec des responsables du prestigieux think tank américain, Hudson Institute, en présence de l’ambassadeur du Maroc aux États-Unis, Youssef Amrani.
A la faveur de ses atouts stratégiques, sa connectivité et sa réputation de havre de paix dans la région, le Royaume s’érige comme "un intermédiaire fiable entre l’Afrique, la région MENA et d’autres parties du monde", a poursuivi Mme Fettah.
À cet égard, elle a rappelé que le Maroc est le pays africain qui compte le plus grand nombre d'accords de libre-échange de même qu’il est le seul au continent à avoir conclu un accord de libre-échange avec les États-Unis.
Tout au long des 25 dernières années, le Royaume s’est employé à bâtir de fortes institutions, mais également à construire des infrastructures répondant aux normes internationales, tant au niveau des ports, que des aéroports, des routes et des autoroutes, a rappelé la ministre.
Elle a souligné que ces investissements se poursuivent et s’intensifient aujourd’hui en prévision de l’accueil de la Coupe d’Afrique des nations de football dans quelques mois, et de la co-organisation de la Coupe du Monde en 2030.
Mme Fettah s’est également arrêtée sur les efforts visant la diversification de l’économie marocaine et des partenaires commerciaux du Royaume, soulignant que les secteurs d’activité économique du Maroc incluent aujourd’hui aussi bien l’industrie que l’agriculture, l’agroalimentaire, le tourisme et les exportations, entre autres.
Dans ce sens, le Maroc a introduit des réformes majeures dans l’objectif d’attirer et de faciliter l’ancrage dans le Royaume des investisseurs privés, notamment en termes de facilitation des procédures administratives et de clarté et de transparence fiscales.
“Nous encourageons le développement de partenariats public-privé (PPP) dans plusieurs secteurs de l’économie, notamment ceux de l'énergie, de l'eau et de l’industrie”, a dit Mme Fettah, soulignant que ce choix émane de la conviction du gouvernement que le secteur privé est un acteur essentiel à la création d'emplois.
Cette réunion a été tenue en présence notamment de Michael Doran, Chercheur principal et directeur du Centre pour la paix et la sécurité au Moyen-Orient relevant du Hudson Institute.
A la faveur de ses atouts stratégiques, sa connectivité et sa réputation de havre de paix dans la région, le Royaume s’érige comme "un intermédiaire fiable entre l’Afrique, la région MENA et d’autres parties du monde", a poursuivi Mme Fettah.
À cet égard, elle a rappelé que le Maroc est le pays africain qui compte le plus grand nombre d'accords de libre-échange de même qu’il est le seul au continent à avoir conclu un accord de libre-échange avec les États-Unis.
Tout au long des 25 dernières années, le Royaume s’est employé à bâtir de fortes institutions, mais également à construire des infrastructures répondant aux normes internationales, tant au niveau des ports, que des aéroports, des routes et des autoroutes, a rappelé la ministre.
Elle a souligné que ces investissements se poursuivent et s’intensifient aujourd’hui en prévision de l’accueil de la Coupe d’Afrique des nations de football dans quelques mois, et de la co-organisation de la Coupe du Monde en 2030.
Mme Fettah s’est également arrêtée sur les efforts visant la diversification de l’économie marocaine et des partenaires commerciaux du Royaume, soulignant que les secteurs d’activité économique du Maroc incluent aujourd’hui aussi bien l’industrie que l’agriculture, l’agroalimentaire, le tourisme et les exportations, entre autres.
Dans ce sens, le Maroc a introduit des réformes majeures dans l’objectif d’attirer et de faciliter l’ancrage dans le Royaume des investisseurs privés, notamment en termes de facilitation des procédures administratives et de clarté et de transparence fiscales.
“Nous encourageons le développement de partenariats public-privé (PPP) dans plusieurs secteurs de l’économie, notamment ceux de l'énergie, de l'eau et de l’industrie”, a dit Mme Fettah, soulignant que ce choix émane de la conviction du gouvernement que le secteur privé est un acteur essentiel à la création d'emplois.
Cette réunion a été tenue en présence notamment de Michael Doran, Chercheur principal et directeur du Centre pour la paix et la sécurité au Moyen-Orient relevant du Hudson Institute.