Dans ledit rapport qui avertit que la menace terroriste liée à Daech et à Al-Qaïda «reste présente» au Maroc, le secrétaire général de l'ONU précise qu'au Royaume, les services de sécurité ont arrêté neuf individus pro-Daech entre janvier et mai.
Le document révèle que deux d'entre eux cherchaient à rejoindre d'autres zones de conflit, dont l'Afghanistan, et un autre était en possession de manuels de fabrication d'explosifs artisanaux.
La même source précise que l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) a renforcé la capacité du Maroc à enquêter sur les crimes terroristes, y compris ceux commis par des combattants terroristes étrangers et des rapatriés, dans le respect de l'État de droit, des droits de l'homme et de la dimension du genre.
Le rapport a également révélé qu'au premier semestre de 2022, la menace posée par Daech et ses affiliés sur la paix et la sécurité internationales s'est accrue, mettant en garde que la menace reste particulièrement élevée dans les zones de conflit, et qu'elle peut s'étendre à des zones qui ne sont pas touchées par les conflits.
Malgré l'élimination de nombreux dirigeants, Daech et ses groupes affiliés continuent d'exploiter les faiblesses de sécurité et les conditions propices à la propagation du terrorisme pour organiser et mener des attentats sophistiqués, explique-t-on.
"Bien que la menace reste relativement faible en dehors des zones de conflit, il est essentiel de continuer à surveiller tout rétablissement ou renforcement de la capacité de Daech à mener ou à faciliter des attaques en dehors de ces zones", recommande le Secrétaire général de l'ONU, cité par le rapport.
Le document révèle que deux d'entre eux cherchaient à rejoindre d'autres zones de conflit, dont l'Afghanistan, et un autre était en possession de manuels de fabrication d'explosifs artisanaux.
La même source précise que l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) a renforcé la capacité du Maroc à enquêter sur les crimes terroristes, y compris ceux commis par des combattants terroristes étrangers et des rapatriés, dans le respect de l'État de droit, des droits de l'homme et de la dimension du genre.
Le rapport a également révélé qu'au premier semestre de 2022, la menace posée par Daech et ses affiliés sur la paix et la sécurité internationales s'est accrue, mettant en garde que la menace reste particulièrement élevée dans les zones de conflit, et qu'elle peut s'étendre à des zones qui ne sont pas touchées par les conflits.
Malgré l'élimination de nombreux dirigeants, Daech et ses groupes affiliés continuent d'exploiter les faiblesses de sécurité et les conditions propices à la propagation du terrorisme pour organiser et mener des attentats sophistiqués, explique-t-on.
"Bien que la menace reste relativement faible en dehors des zones de conflit, il est essentiel de continuer à surveiller tout rétablissement ou renforcement de la capacité de Daech à mener ou à faciliter des attaques en dehors de ces zones", recommande le Secrétaire général de l'ONU, cité par le rapport.