"Les destructions visant à créer une +zone tampon+ pour des raisons de sécurité ne répondent pas aux critères (...) du droit humanitaire international", a déclaré Volker Türk dans un communiqué, soulignant que la "destruction massive de bâtiments, qui n'est pas justifiée par des impératifs militaires et qui est exécutée de manière arbitraire (...) constitue un crime de guerre".