20 % de la population marocaine ont besoin de porter des lunettes au quotidien.
C’est un métier qui a l’air de bien se porter ailleurs et qui généralement jouit d’une aura positive auprès du public. N’est-il pas assez courant de dire d’un opérateur qui fait preuve de dextérité qu’il est « précis comme un opticien » ? Pourtant, ce corps de métier vit au Maroc, depuis plusieurs années, un long déclassement causé par la prolifération de l’informel et par le non-respect des lois en vigueur.
Les opticiens appellent d’ailleurs le législateur à rendre justice à leur métier en le dotant d’un cadre réglementaire adéquat. En attendant, le métier d’opticien continue de subir les préjudices d’une anarchie qui s’enracine. Zoom sur la longue perte d’éclat d’une brillante profession.
Les opticiens appellent d’ailleurs le législateur à rendre justice à leur métier en le dotant d’un cadre réglementaire adéquat. En attendant, le métier d’opticien continue de subir les préjudices d’une anarchie qui s’enracine. Zoom sur la longue perte d’éclat d’une brillante profession.
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