Oracle devrait être annoncé comme le "partenaire technologique de confiance" de TikTok aux Etats-Unis, et l'accord ne sera probablement pas structuré comme une vente pure et simple, précise le journal en citant sources proches du dossier.
La prochaine étape consiste pour la Maison Blanche et le Comité sur les investissements étrangers aux Etats-Unis d’approuver l'accord, qui, de l’avis de ses concepteurs, répond aux préoccupations concernant la sécurité des données qui avaient été précédemment soulevées par le gouvernement américain, ajoute-t-on.
La décision de la société mère de TikTok, ByteDance, basée à Pékin, intervient quelques jours après que le gouvernement chinois a mis en doute les négociations lorsqu'il a émis de nouvelles restrictions à l'exportation à la fin du mois dernier sur le type de technologie d'intelligence artificielle utilisée par TikTok.
Les algorithmes, qui déterminent les vidéos servies aux utilisateurs et sont considérés comme la "sauce secrète" de TikTok, ont été considérés comme faisant partie des négociations de l'accord jusqu'au changement de politique chinoise, ce qui a soulevé des questions parmi les parties impliquées dans les négociations sur la façon de valoriser l'activité des médias sociaux, selon le journal.
La prochaine étape consiste pour la Maison Blanche et le Comité sur les investissements étrangers aux Etats-Unis d’approuver l'accord, qui, de l’avis de ses concepteurs, répond aux préoccupations concernant la sécurité des données qui avaient été précédemment soulevées par le gouvernement américain, ajoute-t-on.
La décision de la société mère de TikTok, ByteDance, basée à Pékin, intervient quelques jours après que le gouvernement chinois a mis en doute les négociations lorsqu'il a émis de nouvelles restrictions à l'exportation à la fin du mois dernier sur le type de technologie d'intelligence artificielle utilisée par TikTok.
Les algorithmes, qui déterminent les vidéos servies aux utilisateurs et sont considérés comme la "sauce secrète" de TikTok, ont été considérés comme faisant partie des négociations de l'accord jusqu'au changement de politique chinoise, ce qui a soulevé des questions parmi les parties impliquées dans les négociations sur la façon de valoriser l'activité des médias sociaux, selon le journal.