L'exigence de certificats de mariage par les établissements hôteliers lors de l'enregistrement reste une pratique standard, bien qu'elle soit vivement contestée pour son caractère jugé illégal et intrusif dans la vie privée des individus.
Intervenant à ce sujet lors de la séance plénière à la Chambre des Conseillers, le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, a indiqué clairement qu’aucun fondement juridique ne justifie cette pratique. “Je cherche depuis 20 ans un fondement pour cette pratique je n’en ai trouvé aucun”, a-t-il souligné.
“N'est-ce pas une violation de leur vie privée ? Quelle est la base légale de cette demande ?”, a souligné Ouahbi. “Si la loi ne l'exige pas explicitement, alors le demander aux couples est illégal !”
De plus, le ministre a annoncé que les établissements hôteliers persistants dans cette pratique enfreignent la loi et devraient être tenus responsables devant le tribunal.
En outre, Abdellatif Ouahbi a critiqué une autre pratique controversée : l'exigence d'un certificat prouvant que la femme ne réside pas dans la même ville où elle souhaite réserver une chambre d'hôtel. A la deuxième Chambre du Parlement, le ministre a dénoncé cette pratique comme discriminatoire et injustifiable, rendant la vie des citoyens plus compliquée.
In fine, Ouahbi a appelé toutes les entités à respecter les droits et la vie privée des individus, mettant en garde les opérateurs hôteliers contre d'éventuelles poursuites judiciaires en cas de non-respect des dispositions légales en vigueur.
Intervenant à ce sujet lors de la séance plénière à la Chambre des Conseillers, le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, a indiqué clairement qu’aucun fondement juridique ne justifie cette pratique. “Je cherche depuis 20 ans un fondement pour cette pratique je n’en ai trouvé aucun”, a-t-il souligné.
“N'est-ce pas une violation de leur vie privée ? Quelle est la base légale de cette demande ?”, a souligné Ouahbi. “Si la loi ne l'exige pas explicitement, alors le demander aux couples est illégal !”
De plus, le ministre a annoncé que les établissements hôteliers persistants dans cette pratique enfreignent la loi et devraient être tenus responsables devant le tribunal.
En outre, Abdellatif Ouahbi a critiqué une autre pratique controversée : l'exigence d'un certificat prouvant que la femme ne réside pas dans la même ville où elle souhaite réserver une chambre d'hôtel. A la deuxième Chambre du Parlement, le ministre a dénoncé cette pratique comme discriminatoire et injustifiable, rendant la vie des citoyens plus compliquée.
In fine, Ouahbi a appelé toutes les entités à respecter les droits et la vie privée des individus, mettant en garde les opérateurs hôteliers contre d'éventuelles poursuites judiciaires en cas de non-respect des dispositions légales en vigueur.