Ce village balnéaire doit son nom à son fondateur, le sultan saâdien El Oualid. Il y fit bâtir, en 1634, une Casbah destinée à défendre l’accès du port aménagé dans la rade.
À Oualidia, terre et océan se mêlent créant une lagune ovale fermée de falaises. À chaque marée, les vagues, qui font rêver les surfeurs les plus fous, franchissent les deux passes, viennent remplir la lagune, puis la quittent. Cependant, la grande spécialité de la ville reste les huîtres, un des meilleurs fruits de mer au monde que les restaurants européens et japonais s’arrachent. Cependant, ce bijou de la mer atlantique et ses magnifiques autres facettes souffrent encore de mille maux et méritent une attention particulière.
Entre autres, indiquent certains habitants, la concrétisation du projet du port de pêche, rêve des pêcheurs et poissonniers de la région et qui tarde à voir le jour. Ce n’est pas tout, ajoute Ahmed Jirari, 35 ans, enseignant, Oualidia souffre de plusieurs autres problèmes liés à la propreté, la faiblesse de l’éclairage public, un déficit des infrastructures et l’absence d’un centre culturel pour les jeunes de la région.
l’origine de nombreux impacts sur les zones humides, avec un usage excessif de fertilisants et de pesticides, l’irrigation, responsable en grande partie de la diminution de la surface des zones humides, la transformation de zones humides naturelles en salines, ce qui n’est pas sans conséquence sur la biodiversité des invertébrés, la surexploitation des ressources aquacoles des deux lagunes qui entraine une diminution du rendement de la pêche et contribue à la diminution de la diversité et du stock des espèces exploitées, le ramassage des coquillages qui participe aussi à la perturbation de la quiétude de l’avifaune et entraîne un piétinement et déplacement excessifs de l’habitat vaseux...
En plus, le développement des activités humaines et économiques autour de la lagune accentue la pression sur la biodiversité et met en péril la zone ». Aujourd’hui et plus que jamais, les habitants d’Oualidia ne cessent de s’interroger sur l’utilité d’une convention qui a été signée dans ce sens pour amortir toutes ces menaces. Cette convention qui propose un plan d’action intégré pour le développement durable d’Oualidia, porte également sur la préservation de sa lagune et la protection de son potentiel ostréicole en tant que site écologique et zone humide d’intérêt international régie par la convention RAMSAR.
À Oualidia, terre et océan se mêlent créant une lagune ovale fermée de falaises. À chaque marée, les vagues, qui font rêver les surfeurs les plus fous, franchissent les deux passes, viennent remplir la lagune, puis la quittent. Cependant, la grande spécialité de la ville reste les huîtres, un des meilleurs fruits de mer au monde que les restaurants européens et japonais s’arrachent. Cependant, ce bijou de la mer atlantique et ses magnifiques autres facettes souffrent encore de mille maux et méritent une attention particulière.
Entre autres, indiquent certains habitants, la concrétisation du projet du port de pêche, rêve des pêcheurs et poissonniers de la région et qui tarde à voir le jour. Ce n’est pas tout, ajoute Ahmed Jirari, 35 ans, enseignant, Oualidia souffre de plusieurs autres problèmes liés à la propreté, la faiblesse de l’éclairage public, un déficit des infrastructures et l’absence d’un centre culturel pour les jeunes de la région.
l’origine de nombreux impacts sur les zones humides, avec un usage excessif de fertilisants et de pesticides, l’irrigation, responsable en grande partie de la diminution de la surface des zones humides, la transformation de zones humides naturelles en salines, ce qui n’est pas sans conséquence sur la biodiversité des invertébrés, la surexploitation des ressources aquacoles des deux lagunes qui entraine une diminution du rendement de la pêche et contribue à la diminution de la diversité et du stock des espèces exploitées, le ramassage des coquillages qui participe aussi à la perturbation de la quiétude de l’avifaune et entraîne un piétinement et déplacement excessifs de l’habitat vaseux...
En plus, le développement des activités humaines et économiques autour de la lagune accentue la pression sur la biodiversité et met en péril la zone ». Aujourd’hui et plus que jamais, les habitants d’Oualidia ne cessent de s’interroger sur l’utilité d’une convention qui a été signée dans ce sens pour amortir toutes ces menaces. Cette convention qui propose un plan d’action intégré pour le développement durable d’Oualidia, porte également sur la préservation de sa lagune et la protection de son potentiel ostréicole en tant que site écologique et zone humide d’intérêt international régie par la convention RAMSAR.
Mohamed LOKHNATI