Suite à plusieurs plaintes déposées au parquet du tribunal de première instance d’Oued Zem, la brigade de lutte contre la cybercriminalité liée à la police judiciaire du district provincial de Khouribga vient de démanteler un autre réseau de 4 arnaqueurs dont une jeune fille originaire de la ville d’Oued Zem et dont le nombre de victimes de sextorsion par internet dépasse les centaines, issues de plusieurs nationalités.
Les plaignants, harcelés et lassés par les nombreux chantages et menaces de diffuser des vidéos compromettantes par leurs extorqueurs à qui ils avaient envoyé plusieurs mandats à Oued Zem par le biais d’agences de transfert d’argent, finirent comme d’habitude par s’adresser à la justice. La brigade de lutte contre la cybercriminalité en coordination avec le laboratoire technique et scientifique prit l’affaire en mains et réussit à détecter les lieux résidence des arnaqueurs.
La brigade de la police judiciaire procéda donc en un temps record à l’arrestation des malfaiteurs dans leur fief. Ainsi, les domiciles des coupables firent l’objet de perquisitions et des pièces à conviction furent saisies dont le matériel informatique et des reçus de paiement. Les accusés avouèrent donc leurs forfaits, le nombre de leurs victimes et le butin récolté des opérations de chantage minutieusement et technologiquement tramées et sans aucun effort physique, sinon celui de se déplacer vers la première agence de transfert d’argent du coin pour encaisser de coquettes sommes d’argent et en demander d’autres quand la victime est bien nantie. Le procureur du Roi décida donc de poursuivre ces internautes cybercriminels en état d’arrestation pour manœuvres frauduleuses dont arnaque, « sextorsion » et chantage.
A souligner que la ville Oued Zem, qu’on nommait jadis « Le petit Paris », a vu le business de la sextorsion fleurir depuis déjà quelques années. L’arnaque, en fait, est devenue désormais un des plus basiques modes opératoires de la mise en action d’un chantage à la webcam. Ainsi, se faisant passer pour des filles, les « maîtres-chanteurs » tentent d’exciter la virilité de leurs victimes ciblées, en majorité des contrées golfiques, pour leur demander de se dénuder face à la webcam. Ensuite, ils enregistrent photos et vidéos des victimes dans leur plus simple appareil, et dans des postures scandaleuses. Enfin, ils passent à l’étape de la menace et de l’extorsion du maximum d’argent en échange du secret.
Ainsi, le nombre de plaintes déposées auprès des juridictions marocaines ont contraint les services de la Sûreté nationale à ouvrir des enquêtes et à perfectionner leurs logistiques en matière de cybercriminalité, ce qui a abouti à l’arrestation d’un grand lot de jeunes arnaqueurs dont le nombre record échoit à la ville des martyrs, qui noie dans la morosité et la cybercriminalité.
On n’imaginerait pas qu’une petite ville du centre du Maroc soit devenue aussi célèbre ces dernières années à l’image des scandales sexuels qui y ont éclaté sur fond de «sex scam» et de « sextorsion » et dont les victimes se trouvent rackettées par des bandes criminelles qui ne cessent en pleines audiences judiciaires de porter les accusations sur la marginalisation et l’exclusion sociale.
Les plaignants, harcelés et lassés par les nombreux chantages et menaces de diffuser des vidéos compromettantes par leurs extorqueurs à qui ils avaient envoyé plusieurs mandats à Oued Zem par le biais d’agences de transfert d’argent, finirent comme d’habitude par s’adresser à la justice. La brigade de lutte contre la cybercriminalité en coordination avec le laboratoire technique et scientifique prit l’affaire en mains et réussit à détecter les lieux résidence des arnaqueurs.
La brigade de la police judiciaire procéda donc en un temps record à l’arrestation des malfaiteurs dans leur fief. Ainsi, les domiciles des coupables firent l’objet de perquisitions et des pièces à conviction furent saisies dont le matériel informatique et des reçus de paiement. Les accusés avouèrent donc leurs forfaits, le nombre de leurs victimes et le butin récolté des opérations de chantage minutieusement et technologiquement tramées et sans aucun effort physique, sinon celui de se déplacer vers la première agence de transfert d’argent du coin pour encaisser de coquettes sommes d’argent et en demander d’autres quand la victime est bien nantie. Le procureur du Roi décida donc de poursuivre ces internautes cybercriminels en état d’arrestation pour manœuvres frauduleuses dont arnaque, « sextorsion » et chantage.
A souligner que la ville Oued Zem, qu’on nommait jadis « Le petit Paris », a vu le business de la sextorsion fleurir depuis déjà quelques années. L’arnaque, en fait, est devenue désormais un des plus basiques modes opératoires de la mise en action d’un chantage à la webcam. Ainsi, se faisant passer pour des filles, les « maîtres-chanteurs » tentent d’exciter la virilité de leurs victimes ciblées, en majorité des contrées golfiques, pour leur demander de se dénuder face à la webcam. Ensuite, ils enregistrent photos et vidéos des victimes dans leur plus simple appareil, et dans des postures scandaleuses. Enfin, ils passent à l’étape de la menace et de l’extorsion du maximum d’argent en échange du secret.
Ainsi, le nombre de plaintes déposées auprès des juridictions marocaines ont contraint les services de la Sûreté nationale à ouvrir des enquêtes et à perfectionner leurs logistiques en matière de cybercriminalité, ce qui a abouti à l’arrestation d’un grand lot de jeunes arnaqueurs dont le nombre record échoit à la ville des martyrs, qui noie dans la morosité et la cybercriminalité.
On n’imaginerait pas qu’une petite ville du centre du Maroc soit devenue aussi célèbre ces dernières années à l’image des scandales sexuels qui y ont éclaté sur fond de «sex scam» et de « sextorsion » et dont les victimes se trouvent rackettées par des bandes criminelles qui ne cessent en pleines audiences judiciaires de porter les accusations sur la marginalisation et l’exclusion sociale.
ELAZHAR