Le Projet de loi de finances 2022 (PLF-2022) actuellement en discussion au sein de l’Exécutif devrait être tourné vers la relance et le démarrage de chantiers majeurs pour la modernisation de l’appareil d’Etat. Le prochain gouvernement héritera ainsi d’une note de cadrage ambitieuse où se mêlent Fond Mohammed VI pour l’investissement, réforme fiscale dédiée au programme Inteleka, généralisation des allocations familiales, accompagnement des TPME opérant dans l’export, notamment celles ciblant le marché africain, adoption d’une charte de l’investissement, mise en oeuvre des recommandations du Nouveau Modèle de Développement ou encore application des dispositions contenues dans la loi-cadre relative à la réforme des Etablissements et Entreprises Publics (EEP).
D’ailleurs, le gouvernement table sur un taux de croissance de 3,2% pour l’exercice à venir et base les projections du PLF sur un prix moyen de gaz butane estimé à 450 dollars/tonne et d’une récolte céréalière moyenne de 70 millions de quintaux.
L’Exécutif prévoit également un rebond de l’économie lors du deuxième semestre de l’exercice en cours. Une projection optimiste qui repose sur un renforcement de la situation financière des principaux partenaires économiques du Royaume, l’avancée de la campagne de vaccination, les effets du retour des MRE et la récolte céréalière record de 103 millions de quintaux enregistrée lors de cette campagne agricole. Un ensemble d’indicateurs qui a encouragé la tutelle à prévoir une croissance de 5,5 à 5,8% pour 2021.
Des projections qui ont encouragé l’Exécutif à s’engager dans la poursuite des efforts pour redynamiser les secteurs productifs et améliorer leur capacité de créer des emplois et de la valeur ajoutée, à travers la poursuite de la mise en oeuvre du Fonds Mohammed VI pour l’investissement via le financement d’un ensemble des projets dans le cadre du Partenariat Public-Privé (PPP). La note prévoit également l’amélioration de l’environnement des affaires, en poursuivant la mise en oeuvre de la politique nationale de l’environnement des affaires couvrant la période allant de 2021 à 2025.
Le PLF a également accordé un intérêt particulier à la mise en oeuvre de la loi-cadre sur la réforme fiscale, afin d’asseoir la justice fiscale, garantir l’équité et mobiliser les ressources fiscales pour financer les politiques publiques. Le prochain gouvernement devra par ailleurs consentir un investissement notable dans l’infrastructure et la logistique, le développement du système de transport et la promotion des énergies renouvelables à faibles émissions de carbone.
D’ailleurs, le gouvernement table sur un taux de croissance de 3,2% pour l’exercice à venir et base les projections du PLF sur un prix moyen de gaz butane estimé à 450 dollars/tonne et d’une récolte céréalière moyenne de 70 millions de quintaux.
L’Exécutif prévoit également un rebond de l’économie lors du deuxième semestre de l’exercice en cours. Une projection optimiste qui repose sur un renforcement de la situation financière des principaux partenaires économiques du Royaume, l’avancée de la campagne de vaccination, les effets du retour des MRE et la récolte céréalière record de 103 millions de quintaux enregistrée lors de cette campagne agricole. Un ensemble d’indicateurs qui a encouragé la tutelle à prévoir une croissance de 5,5 à 5,8% pour 2021.
Des projections qui ont encouragé l’Exécutif à s’engager dans la poursuite des efforts pour redynamiser les secteurs productifs et améliorer leur capacité de créer des emplois et de la valeur ajoutée, à travers la poursuite de la mise en oeuvre du Fonds Mohammed VI pour l’investissement via le financement d’un ensemble des projets dans le cadre du Partenariat Public-Privé (PPP). La note prévoit également l’amélioration de l’environnement des affaires, en poursuivant la mise en oeuvre de la politique nationale de l’environnement des affaires couvrant la période allant de 2021 à 2025.
Le PLF a également accordé un intérêt particulier à la mise en oeuvre de la loi-cadre sur la réforme fiscale, afin d’asseoir la justice fiscale, garantir l’équité et mobiliser les ressources fiscales pour financer les politiques publiques. Le prochain gouvernement devra par ailleurs consentir un investissement notable dans l’infrastructure et la logistique, le développement du système de transport et la promotion des énergies renouvelables à faibles émissions de carbone.
A. A.