Les autorités israéliennes ont démoli le village pour la première fois en juillet 2010, et depuis lors, il a été démoli et à chaque fois les habitants le reconstruisaient. Israël a encore démoli le village arabe d’Al-Araqib, hier mardi, situé dans la région du Néguev (sud), et ce pour la 204e fois consécutive. Un record à mettre au Guiness Book.
Dans une déclaration au correspondant de l’Agence Anadolu, Aziz al-Turi, membre du Comité local pour la défense d’Al-Araqib, a déclaré que les autorités israéliennes «ont fait incursion dans le village et démoli ses habitations pour la 204e fois». Al-Touri a encore affirmé que les habitants «reconstruiront leur village».
La dernière fois où les autorités israéliennes ont démoli les habitations du village datait de la fin du mois dernier. Les habitations d’Al-Araqib sont construites en bois, en plastique et en taule et sont habitées par 22 familles, selon le correspondant de l’Agence Anadolu.
Le gouvernement israélien ne reconnaît pas le village d’Al- Araqib, mais ses habitants s’accrochent toujours à leurs terres, malgré les démolitions en série. Al-Araqib a été construit pour la première fois sous la domination ottomane sur des terres achetées par ses habitants.
Dans une déclaration au correspondant de l’Agence Anadolu, Aziz al-Turi, membre du Comité local pour la défense d’Al-Araqib, a déclaré que les autorités israéliennes «ont fait incursion dans le village et démoli ses habitations pour la 204e fois». Al-Touri a encore affirmé que les habitants «reconstruiront leur village».
La dernière fois où les autorités israéliennes ont démoli les habitations du village datait de la fin du mois dernier. Les habitations d’Al-Araqib sont construites en bois, en plastique et en taule et sont habitées par 22 familles, selon le correspondant de l’Agence Anadolu.
Le gouvernement israélien ne reconnaît pas le village d’Al- Araqib, mais ses habitants s’accrochent toujours à leurs terres, malgré les démolitions en série. Al-Araqib a été construit pour la première fois sous la domination ottomane sur des terres achetées par ses habitants.