L’Organisation de libération de la Palestine (OLP) a entamé samedi des contacts et des consultations intensifs avec des responsables arabes, deux jours avant la tenue de la 154ème session du Conseil de la Ligue des États arabes, au niveau des délégués permanents, en préparation des travaux de cette session au niveau des ministres des Affaires étrangères à distance, mercredi prochain, sous la direction de la Palestine.
Le secrétaire du Comité exécutif de l’OLP, Saeb Erekat, est entré en contact avec un plusieurs chefs de la diplomatie des pays arabes exiger plus de fermeté dans leur adhésion à l’Initiative de paix arabe, apprend-on du site officiel de l’organisation..
Erekat a mis l’accent sur la nécessité pour qu’aucune partie n’opte pour la normaliser les relations avec l’occupant israélien avant que l’initiative arabe ne soit pleinement mise en œuvre, d’une manière qui garantisse la fin de l’occupation, incarnant l’indépendance de l’État de Palestine avec sa capitale, Al Qods et sur les frontières de 1967, résolvant le problème des réfugiés conformément à la résolution 194 de l’ONU et libérant tous les prisonniers.
L’initiative de paix, signée par tous les pays arabes, dans la capitale libanaise Beyrouth le 28 mars 2002, dite aussi initiative du roi Abdallah, empêche dans ses dispositions la normalisation des relations avec l’occupation israélienne, tant que celle-ci ne s’engage pas à restaurer les droits des Palestiniens sur la base des résolutions internationales. Le site de l’Organisation de libération de la Palestine précise que les contacts comprenaient les ministres des Affaires étrangères de l’Égypte, Sameh Shoukry, l’Arabie saoudite Faisal bin Farhan, le Jordanien Ayman Safadi et le Sultanat d’Oman, Badr Al-Busaidi, en plus du sous-secrétaire général de la Ligue arabe Hussam Zaki.
Une résistance globale sous toutes ses formes
La série de contacts entreprise avec les MAE arabes, coïncide avec la fin de la réunion des secrétaires généraux des factions palestiniennes, qui s’est tenue à Ramallah et Beyrouth grâce à la technologie vidéo, et constitue une étape exceptionnelle réunissant toutes les factions et forces dans un dialogue ouvert à une étape délicate que traverse la cause palestinienne dans une conjoncture particulière illustrée par le soi-disant «deal du siècle», la normalisation des relations de certains régimes du Golfe avec l’occupant israélien et les visées expansionnistes contenues dans le «plan d’annexion» de Netanyahu.
Les dirigeants palestiniens, dirigés par le Président Mahmoud Abbas, se sont réunis lors d’une session conjointe entre Ramallah en Cisjordanie occupée et la capitale libanaise Beyrouth, qui a une longue tradition de lutte contre l’ennemi et de soutien à la résistance aux frontières sud du Liban depuis des décennies.
Dans la déclaration finale, la réunion a souligné la nécessité d’une résistance globale sous toutes ses formes.
Le secrétaire du Comité exécutif de l’OLP, Saeb Erekat, est entré en contact avec un plusieurs chefs de la diplomatie des pays arabes exiger plus de fermeté dans leur adhésion à l’Initiative de paix arabe, apprend-on du site officiel de l’organisation..
Erekat a mis l’accent sur la nécessité pour qu’aucune partie n’opte pour la normaliser les relations avec l’occupant israélien avant que l’initiative arabe ne soit pleinement mise en œuvre, d’une manière qui garantisse la fin de l’occupation, incarnant l’indépendance de l’État de Palestine avec sa capitale, Al Qods et sur les frontières de 1967, résolvant le problème des réfugiés conformément à la résolution 194 de l’ONU et libérant tous les prisonniers.
L’initiative de paix, signée par tous les pays arabes, dans la capitale libanaise Beyrouth le 28 mars 2002, dite aussi initiative du roi Abdallah, empêche dans ses dispositions la normalisation des relations avec l’occupation israélienne, tant que celle-ci ne s’engage pas à restaurer les droits des Palestiniens sur la base des résolutions internationales. Le site de l’Organisation de libération de la Palestine précise que les contacts comprenaient les ministres des Affaires étrangères de l’Égypte, Sameh Shoukry, l’Arabie saoudite Faisal bin Farhan, le Jordanien Ayman Safadi et le Sultanat d’Oman, Badr Al-Busaidi, en plus du sous-secrétaire général de la Ligue arabe Hussam Zaki.
Une résistance globale sous toutes ses formes
La série de contacts entreprise avec les MAE arabes, coïncide avec la fin de la réunion des secrétaires généraux des factions palestiniennes, qui s’est tenue à Ramallah et Beyrouth grâce à la technologie vidéo, et constitue une étape exceptionnelle réunissant toutes les factions et forces dans un dialogue ouvert à une étape délicate que traverse la cause palestinienne dans une conjoncture particulière illustrée par le soi-disant «deal du siècle», la normalisation des relations de certains régimes du Golfe avec l’occupant israélien et les visées expansionnistes contenues dans le «plan d’annexion» de Netanyahu.
Les dirigeants palestiniens, dirigés par le Président Mahmoud Abbas, se sont réunis lors d’une session conjointe entre Ramallah en Cisjordanie occupée et la capitale libanaise Beyrouth, qui a une longue tradition de lutte contre l’ennemi et de soutien à la résistance aux frontières sud du Liban depuis des décennies.
Dans la déclaration finale, la réunion a souligné la nécessité d’une résistance globale sous toutes ses formes.