Le chiffre «8» donne le mouvement.
Si un zéro s’invite à ses côtés, c’est encore mieux. Le temps passe si vite et cela fait 80 ans que le Parti de l’Istiqlal qui a vu sa naissance bien auparavant dans le sillage du Mouvement national , a présenté sous la houlette du Père de la Nation Marocaine, , le Roi Mohammed V , le Manifeste de l’independence .
Contrairement à l’âge des hommes, «80» est, pour un acte audacieux en son temps , le signe du Patriotisme, du dynamisme et de l’action non stop.
Et puis, sans plonger dans la superstition, le chiffre «8» dégage une certaine prestance. Le système solaire compte huit planètes depuis que Pluton n’en mérite plus le titre. Huit, est le chiffre chinois du bonheur. Les jeux Olympiques de Beijing ont d’ailleurs commencé 8 secondes et 8 minutes après 8 heures, le 08/08/08 ! .
Les Japonais aiment le huit, aussi, mais différemment. Pour eux, le chiffre 80 donne l’idée d’une prospérité toujours grandissante.
Le Parti de l’Istiqlal s’est toujours singularisé par son patriotisme engagé et cet exercice citoyen d’accélérations et de suspensions qui rythment la vie des marocains .
Ses actions ont séduit toutes les cultures.
Aujourd’hui, il demeure à l’avant-garde du progrès et du développement et reste adapté, dans ses principes et ses idéaux, à l’évolution du temps.
Son originalité demeure toujours marquée par la richesse et la diversité des composantes de ses rangs, représentant les différentes couches du peuple marocain et constituant la principale source d’inspiration de ses programmes politiques, économiques et sociaux. Ce qui fait sa force éternelle.
La singularité de l’Istiqlal ne peut donc, et en aucun cas, être altérée.
La force du Parti demeure intacte, du fait qu’elle tire sa raison d’être du quotidien des marocains et de l’Histoire riche et glorieuse du Royaume.
Nul ne peut, en effet, ignorer le parcours, les combats et les luttes menées depuis des décennies par les militants istiqlaliens aussi bien pour l’indépendance du Maroc que pour la consolidation des fondements démocratiques et des assises économiques du pays, ce qui a balisé la route de la liberté et de la démocratie pour tous les Marocains.
L’année 2024 sera celle de la commémoration de 80 ans de la présentation du Manifeste de l’independence par le Parti de l’Istiqlal.
Ce sera l’occasion pour rappeler les idéaux et politiques qui ont permis au Parti de se distinguer par son militantisme en faveur des couches déshéritées et pour un avenir meilleur pour les générations actuelles et futures. Il ne s’agit pas d’un vœu, mais cela devra être le corollaire d’un programme pluriannuel marqué par la bonne gouvernance et par la transcendance des valeurs démocratiques. Il s’agit en fait d’une stratégie multidimensionnelle qui devra placer le Maroc dans les rangs de pays prospères pour peu que les autres acteurs politiques et économiques adhèrent aux principes énoncées par l’Istiqlal qui privilégient l’intérêt général, signe de patriotisme.
Les idéaux et principes du parti puisent de nôtre sainte religion avec ses valeurs sacrées de tolérance, d’organisation sociale, en somme un Islam du centre qui a permis la cohésion des marocains pendant plus de quatorze siècles. L’une des manifestation de cette idéologie est l’Istiqlal dont le nom signifie justement l’indépendance. Une appellation qui n’est pas fortuite au demeurant mais était le leitmotiv pendant la colonisation et qui est devenue réalité en novembre 1955 après le retour d’exil de Feu le Sultan Mohammed V.
Grâce au militantisme du Parti de l’Istiqlal, le Maroc a arraché sa liberté et sa souveraineté et mis fin à des décennies de protectorat. Jamais auparavant, une organisation politique n’avait obtenu un tel consensus populaire au point que son président Feu Allal Fassi s’est érigé en idole de bravoure, et de fidélité à la patrie. Le triomphe de l’Istiqlal avait ouvert une nouvelle ère qui devrait répondre aux attentes des marocains assoiffés de liberté, de démocratie et d’une vie digne et décente. Autant dire la gageur à laquelle était confrontée la monarchie et avec elle le Parti de l’Istiqlal qui était le parti de tous les marocains.
Il fallait bâtir un Maroc moderne capable de répondre aux aspirations du peuple marocain et des peuples arabes dont une partie an mis fin à l’occupation et d’autres qui s’y attelaient.
Quand on veut, on peut, dit-on.
L’attachement des marocains au Trône Alaouite et leur solidarité avec le Parti de l’Istiqlal ont constitué une force qui augurait d’horizons meilleurs.
Aujourd’hui, le pays récolte les fruits de son labeur et le Parti de l’Istiqlal se dresse toujours la tête haute après huit décennies de militantisme et de sacrifice pour le bien du pays.
Et parce que tout rythme est musique, huit(8) notes dans l’octave pour constituer la musique, à l’infini.
Les «80 ans» de l’Istiqlal sont très riches et qui croit à la numérologie y verrait le signe d’un chemin vers le succès.
Le Parti ne compte pas s’arrêter là, le chemin de la construction du Maroc rêvé par Feu Mohammed V et par Feu le Roi Hassan II est encore long.
Notre Auguste Souverain, Mohammed VI, poursuit l’œuvre de ses ancêtres et le Parti de l’Istiqlal est toujours là pour accompagner les réformes et les actions.
Les chantiers sont nombreux certes , mais la volonté collective est là, comme elle l’a été durant 80 ans , et avec l’espoir ayant animé les 66 Signataires du Manifeste de l’independence, c’est à dire depuis 1944 justement !
Et avec le SG le Dr Nizar Baraka , c'est une nouvelle dynamique dans la Continuité .
Il a ouvert le Parti , et répondu aux aspirations des marocains, celles de réaliser la justice sociale, mettre fin à toutes les formes d’injustice, d’exclusion et de marginalisation et, par la même occasion, consolider les acquis des 80 ans et accélérer les réformes et les actions .
Nous ne le répéterons pas assez, le programme du parti répond aux questionnements et aux attentes des marocains.
Et c’est ce qui explique cet attachement viscéral d’une large frange des Marocains au parti, illustrée par la confiance dans l’Istiqlal. L’année 2024 devra démontrer encore une fois cette “complicité “positive à l’occasion des actions programmées dans le cadre d’un agenda local qui s’étendra durant toute l’année et qui touchera l’ensemble du territoire national.
Si un zéro s’invite à ses côtés, c’est encore mieux. Le temps passe si vite et cela fait 80 ans que le Parti de l’Istiqlal qui a vu sa naissance bien auparavant dans le sillage du Mouvement national , a présenté sous la houlette du Père de la Nation Marocaine, , le Roi Mohammed V , le Manifeste de l’independence .
Contrairement à l’âge des hommes, «80» est, pour un acte audacieux en son temps , le signe du Patriotisme, du dynamisme et de l’action non stop.
Et puis, sans plonger dans la superstition, le chiffre «8» dégage une certaine prestance. Le système solaire compte huit planètes depuis que Pluton n’en mérite plus le titre. Huit, est le chiffre chinois du bonheur. Les jeux Olympiques de Beijing ont d’ailleurs commencé 8 secondes et 8 minutes après 8 heures, le 08/08/08 ! .
Les Japonais aiment le huit, aussi, mais différemment. Pour eux, le chiffre 80 donne l’idée d’une prospérité toujours grandissante.
Le Parti de l’Istiqlal s’est toujours singularisé par son patriotisme engagé et cet exercice citoyen d’accélérations et de suspensions qui rythment la vie des marocains .
Ses actions ont séduit toutes les cultures.
Aujourd’hui, il demeure à l’avant-garde du progrès et du développement et reste adapté, dans ses principes et ses idéaux, à l’évolution du temps.
Son originalité demeure toujours marquée par la richesse et la diversité des composantes de ses rangs, représentant les différentes couches du peuple marocain et constituant la principale source d’inspiration de ses programmes politiques, économiques et sociaux. Ce qui fait sa force éternelle.
La singularité de l’Istiqlal ne peut donc, et en aucun cas, être altérée.
La force du Parti demeure intacte, du fait qu’elle tire sa raison d’être du quotidien des marocains et de l’Histoire riche et glorieuse du Royaume.
Nul ne peut, en effet, ignorer le parcours, les combats et les luttes menées depuis des décennies par les militants istiqlaliens aussi bien pour l’indépendance du Maroc que pour la consolidation des fondements démocratiques et des assises économiques du pays, ce qui a balisé la route de la liberté et de la démocratie pour tous les Marocains.
L’année 2024 sera celle de la commémoration de 80 ans de la présentation du Manifeste de l’independence par le Parti de l’Istiqlal.
Ce sera l’occasion pour rappeler les idéaux et politiques qui ont permis au Parti de se distinguer par son militantisme en faveur des couches déshéritées et pour un avenir meilleur pour les générations actuelles et futures. Il ne s’agit pas d’un vœu, mais cela devra être le corollaire d’un programme pluriannuel marqué par la bonne gouvernance et par la transcendance des valeurs démocratiques. Il s’agit en fait d’une stratégie multidimensionnelle qui devra placer le Maroc dans les rangs de pays prospères pour peu que les autres acteurs politiques et économiques adhèrent aux principes énoncées par l’Istiqlal qui privilégient l’intérêt général, signe de patriotisme.
Les idéaux et principes du parti puisent de nôtre sainte religion avec ses valeurs sacrées de tolérance, d’organisation sociale, en somme un Islam du centre qui a permis la cohésion des marocains pendant plus de quatorze siècles. L’une des manifestation de cette idéologie est l’Istiqlal dont le nom signifie justement l’indépendance. Une appellation qui n’est pas fortuite au demeurant mais était le leitmotiv pendant la colonisation et qui est devenue réalité en novembre 1955 après le retour d’exil de Feu le Sultan Mohammed V.
Grâce au militantisme du Parti de l’Istiqlal, le Maroc a arraché sa liberté et sa souveraineté et mis fin à des décennies de protectorat. Jamais auparavant, une organisation politique n’avait obtenu un tel consensus populaire au point que son président Feu Allal Fassi s’est érigé en idole de bravoure, et de fidélité à la patrie. Le triomphe de l’Istiqlal avait ouvert une nouvelle ère qui devrait répondre aux attentes des marocains assoiffés de liberté, de démocratie et d’une vie digne et décente. Autant dire la gageur à laquelle était confrontée la monarchie et avec elle le Parti de l’Istiqlal qui était le parti de tous les marocains.
Il fallait bâtir un Maroc moderne capable de répondre aux aspirations du peuple marocain et des peuples arabes dont une partie an mis fin à l’occupation et d’autres qui s’y attelaient.
Quand on veut, on peut, dit-on.
L’attachement des marocains au Trône Alaouite et leur solidarité avec le Parti de l’Istiqlal ont constitué une force qui augurait d’horizons meilleurs.
Aujourd’hui, le pays récolte les fruits de son labeur et le Parti de l’Istiqlal se dresse toujours la tête haute après huit décennies de militantisme et de sacrifice pour le bien du pays.
Et parce que tout rythme est musique, huit(8) notes dans l’octave pour constituer la musique, à l’infini.
Les «80 ans» de l’Istiqlal sont très riches et qui croit à la numérologie y verrait le signe d’un chemin vers le succès.
Le Parti ne compte pas s’arrêter là, le chemin de la construction du Maroc rêvé par Feu Mohammed V et par Feu le Roi Hassan II est encore long.
Notre Auguste Souverain, Mohammed VI, poursuit l’œuvre de ses ancêtres et le Parti de l’Istiqlal est toujours là pour accompagner les réformes et les actions.
Les chantiers sont nombreux certes , mais la volonté collective est là, comme elle l’a été durant 80 ans , et avec l’espoir ayant animé les 66 Signataires du Manifeste de l’independence, c’est à dire depuis 1944 justement !
Et avec le SG le Dr Nizar Baraka , c'est une nouvelle dynamique dans la Continuité .
Il a ouvert le Parti , et répondu aux aspirations des marocains, celles de réaliser la justice sociale, mettre fin à toutes les formes d’injustice, d’exclusion et de marginalisation et, par la même occasion, consolider les acquis des 80 ans et accélérer les réformes et les actions .
Nous ne le répéterons pas assez, le programme du parti répond aux questionnements et aux attentes des marocains.
Et c’est ce qui explique cet attachement viscéral d’une large frange des Marocains au parti, illustrée par la confiance dans l’Istiqlal. L’année 2024 devra démontrer encore une fois cette “complicité “positive à l’occasion des actions programmées dans le cadre d’un agenda local qui s’étendra durant toute l’année et qui touchera l’ensemble du territoire national.