La Fondation des OEuvres Sociales des Travaux Publics (FOSTP) a réagi à la polémique engendrée par l’octroi d’une licence à une société détenue par le parlementaire Hicham El Mhajri afin d’exploiter la plage de Mehdia dans la province de Kénitra pendant la saison estivale, en dehors des dispositions légales, et l’exclusion d’autres sociétés.
Dans un communiqué, ladite Fondation, relevant du ministère de l’Equipement et de l’Eau, a précisé qu’elle est derrière la décision de concession, et non le ministère, notant que le bien en question a été en situation d’occupation temporaire, et ce depuis 2012.
Par ailleurs, la Fondation a indiqué qu’elle avait l’habitude, pendant la période estivale uniquement, de permettre l’exploitation de la plage dans le cadre de conventions de partenariat avec des entreprises privées, pour y aménager un espace de jeux, de foires commerciales et de parkings, notant que ces ‘’modestes’’ revenus servaient de ressource qui contribue au financement de ses services et des activités sociales qu’elle fournit à ses membres.
La FOSTP a précisé à cet égard, qu’elle avait reçu 5 demandes d’exploitation de différentes parties du bien en question, mais la société qui a obtenu le droit d’exploitation a déposé une offre qui vise à réaliser un projet sur l’ensemble de la parcelle. Ce qui signifie, ajoute la Fondation, que « la redevance annuelle que l’entreprise lauréate s’est engagée à verser dépasse largement ce qui a été a réalisé en mettant le bien morcelé à la disposition de plusieurs entreprises ».
Dans un communiqué, ladite Fondation, relevant du ministère de l’Equipement et de l’Eau, a précisé qu’elle est derrière la décision de concession, et non le ministère, notant que le bien en question a été en situation d’occupation temporaire, et ce depuis 2012.
Par ailleurs, la Fondation a indiqué qu’elle avait l’habitude, pendant la période estivale uniquement, de permettre l’exploitation de la plage dans le cadre de conventions de partenariat avec des entreprises privées, pour y aménager un espace de jeux, de foires commerciales et de parkings, notant que ces ‘’modestes’’ revenus servaient de ressource qui contribue au financement de ses services et des activités sociales qu’elle fournit à ses membres.
La FOSTP a précisé à cet égard, qu’elle avait reçu 5 demandes d’exploitation de différentes parties du bien en question, mais la société qui a obtenu le droit d’exploitation a déposé une offre qui vise à réaliser un projet sur l’ensemble de la parcelle. Ce qui signifie, ajoute la Fondation, que « la redevance annuelle que l’entreprise lauréate s’est engagée à verser dépasse largement ce qui a été a réalisé en mettant le bien morcelé à la disposition de plusieurs entreprises ».