Le ministère précise que «dans un souci constant et continu de préserver la santé et la sécurité des citoyennes et citoyens et dans le but de mettre en œuvre l’ensemble des mesures de précaution et de prévention contre le coronavirus afin d’endiguer sa propagation, et suite au relâchement de certains individus face au respect des mesures obligatoires fixées à cet effet, les autorités publiques rappellent que le port du masque est obligatoire pour toute personne lors de son déplacement en dehors de son domicile».
Quiconque enfreint cette disposition est passible des peines prévues dans l'article 4 du décret-loi N°2.20.292 qui prévoit «une peine d'emprisonnement d'un à trois mois et une amende variant entre 300 et 1.300 dirhams, ou l'une des deux peines sans préjudice de la peine pénale la plus sévère», poursuit le communiqué.
A cet égard, les autorités publiques affirment leur détermination constante à appliquer strictement les mesures obligatoires», ajoute la département de Abdelouafi Laftit, soulignant qu'elles «n'hésiteront pas à appliquer les sanctions prévues par la loi à l'encontre de toute personne ayant enfreint l'obligation du port du masque de protection».
Malgré ce rappel, somme toute bienvenu, au vu du relâchement général constaté ces derniers temps pourtant marqués par une montée en flèche des contaminations, une législation spécifique et plus détaillée concernant les conditions du port du masque, demeure nécessaire. Plusieurs Zones d’ombre restent en effet à clarifier notamment en ce qui concerne l’usage du masque lorsqu’on est seul en véhicule, dans les plages , ainsi que dans les lieux publics non clos, sans oublier la clarification de la question des normes admises qu’impose la prolifération de bavettes artisanales faites main et généralement non conformes.
Quiconque enfreint cette disposition est passible des peines prévues dans l'article 4 du décret-loi N°2.20.292 qui prévoit «une peine d'emprisonnement d'un à trois mois et une amende variant entre 300 et 1.300 dirhams, ou l'une des deux peines sans préjudice de la peine pénale la plus sévère», poursuit le communiqué.
A cet égard, les autorités publiques affirment leur détermination constante à appliquer strictement les mesures obligatoires», ajoute la département de Abdelouafi Laftit, soulignant qu'elles «n'hésiteront pas à appliquer les sanctions prévues par la loi à l'encontre de toute personne ayant enfreint l'obligation du port du masque de protection».
Malgré ce rappel, somme toute bienvenu, au vu du relâchement général constaté ces derniers temps pourtant marqués par une montée en flèche des contaminations, une législation spécifique et plus détaillée concernant les conditions du port du masque, demeure nécessaire. Plusieurs Zones d’ombre restent en effet à clarifier notamment en ce qui concerne l’usage du masque lorsqu’on est seul en véhicule, dans les plages , ainsi que dans les lieux publics non clos, sans oublier la clarification de la question des normes admises qu’impose la prolifération de bavettes artisanales faites main et généralement non conformes.