Les lignes reliant Lisbonne à Agadir, Fès et Marrakech « illégalement bloquées par le ministère portugais des Infrastructures et par l’Autorité nationale de l’aviation civile (ANAC) », précise la société aérienne, condamnant la « une violation flagrante de l’accord aérien global ciel ouvert de l’UE en vigueur avec le Maroc ». La low cost irlandaise s'active déjà dans l'indemnisation des billets pour les passagers concernés par les annulations de vols.
Ce blocage entraîne l'annulation de 3.000 vols en provenance de Lisbonne et à destination du Maroc, dès ce dimanche, indique Ryanair dans un communiqué, affirmant avoir tenté à plusieurs reprises d'obtenir des autorisations de vols.
Pour sa part, l’Autorité nationale de l’aviation civile (ANAC) affirme que « Ryanair n’a pas fait la demande conformément à la loi et dans les délais, en se conformant aux exigences légales et en délivrant tous les documents nécessaires à l’analyse de la demande, malgré le fait que l’ANAC les ait demandés à plusieurs reprises […]. Il serait illégal d’accorder une autorisation en violation de la loi en vigueur ».
L’ANAC a également déclaré qu’elle a relancé la compagnie à plusieurs reprises, précisant « qu’il serait illégal d'accorder des autorisations de vols à un transporteur aérien ayant violé la loi en vigueur ».
Ce blocage entraîne l'annulation de 3.000 vols en provenance de Lisbonne et à destination du Maroc, dès ce dimanche, indique Ryanair dans un communiqué, affirmant avoir tenté à plusieurs reprises d'obtenir des autorisations de vols.
Pour sa part, l’Autorité nationale de l’aviation civile (ANAC) affirme que « Ryanair n’a pas fait la demande conformément à la loi et dans les délais, en se conformant aux exigences légales et en délivrant tous les documents nécessaires à l’analyse de la demande, malgré le fait que l’ANAC les ait demandés à plusieurs reprises […]. Il serait illégal d’accorder une autorisation en violation de la loi en vigueur ».
L’ANAC a également déclaré qu’elle a relancé la compagnie à plusieurs reprises, précisant « qu’il serait illégal d'accorder des autorisations de vols à un transporteur aérien ayant violé la loi en vigueur ».
