«La pandémie a révélé au grand jour des déficiences, des fragilités et des lignes de fracture d’une ampleur colossale», a constaté le Secrétaire général des Nations-Unies, Antonio Guterres, dans un message sur la note de synthèse de l’ONU sur : «Covid-19 et monde du travail . Selon lui, «aucun travailleur, aucune travailleuse, aucune entreprise sur la planète n’a été épargné», alors que des centaines de millions d’emplois ont été perdus.
En effet, au Maroc, le constat est alarmant. Le confinement obligatoire a mis une grande partie des entreprises, particulièrement les TPME, dans de grosses difficultés financières qui vont se répercuter sur la classe laborieuse. Ce qui commence à se voir, à travers la courbe du chômage qui est passé de 9,1% à 10,5% au niveau national, de 13,3% à 15,1% en milieu urbain et de 3,1% à 3,9% en milieu rural, selon les statistiques du Haut-Commissariat au Plan (HCP).
Attention aux vulnérables !
«Les jeunes, les personnes en situation d’ handicap et bien d’autres font face à d’énormes difficultés. Une multitude de petites et moyennes entreprises, moteurs de l’économie mondiale, risquent de ne pas survivre», a souligné le SG de l’ONU, avertissant que la crise qui sévit dans le monde du travail ne fait que «raviver un foyer déjà ardent de mécontentement et d’anxiété».
« Le chômage massif et la perte de revenus liés à la COVID-19 érodent encore plus la cohésion sociale et déstabilisent les pays et les régions, sur le plan social, politique et économique, a-t-il dit. Mais les plus vulnérables risquent de devenir encore plus vulnérables, et les pays et populations pauvres risquent de se laisser encore plus distancer», s’est inquiété le Secrétaire général.
Ainsi, pour M. Guterres, le monde du travail «ne peut pas, et ne doit pas, rester le même après cette crise». «L’heure est venue de coordonner l’action mondiale, régionale et nationale pour créer des conditions de travail décentes pour tout le monde, point de départ d’une reprise verte, inclusive et résiliente», a-t-il plaidé.
«En prenant rapidement des mesures intelligentes à tous les niveaux, guidées par le Programme de développement durable à l’horizon 2030, nous pouvons émerger de cette crise avec une vigueur nouvelle, de meilleurs emplois et un avenir meilleur, plus équitable et plus vert pour toute l’humanité», a assuré le Secrétaire général.
En effet, au Maroc, le constat est alarmant. Le confinement obligatoire a mis une grande partie des entreprises, particulièrement les TPME, dans de grosses difficultés financières qui vont se répercuter sur la classe laborieuse. Ce qui commence à se voir, à travers la courbe du chômage qui est passé de 9,1% à 10,5% au niveau national, de 13,3% à 15,1% en milieu urbain et de 3,1% à 3,9% en milieu rural, selon les statistiques du Haut-Commissariat au Plan (HCP).
Attention aux vulnérables !
«Les jeunes, les personnes en situation d’ handicap et bien d’autres font face à d’énormes difficultés. Une multitude de petites et moyennes entreprises, moteurs de l’économie mondiale, risquent de ne pas survivre», a souligné le SG de l’ONU, avertissant que la crise qui sévit dans le monde du travail ne fait que «raviver un foyer déjà ardent de mécontentement et d’anxiété».
« Le chômage massif et la perte de revenus liés à la COVID-19 érodent encore plus la cohésion sociale et déstabilisent les pays et les régions, sur le plan social, politique et économique, a-t-il dit. Mais les plus vulnérables risquent de devenir encore plus vulnérables, et les pays et populations pauvres risquent de se laisser encore plus distancer», s’est inquiété le Secrétaire général.
Ainsi, pour M. Guterres, le monde du travail «ne peut pas, et ne doit pas, rester le même après cette crise». «L’heure est venue de coordonner l’action mondiale, régionale et nationale pour créer des conditions de travail décentes pour tout le monde, point de départ d’une reprise verte, inclusive et résiliente», a-t-il plaidé.
«En prenant rapidement des mesures intelligentes à tous les niveaux, guidées par le Programme de développement durable à l’horizon 2030, nous pouvons émerger de cette crise avec une vigueur nouvelle, de meilleurs emplois et un avenir meilleur, plus équitable et plus vert pour toute l’humanité», a assuré le Secrétaire général.
