Dans une mise au point en réponse à un communiqué attribué à la famille du détenu Mohammed Ziane et à une déclaration filmée de son fils et de son avocat, la direction de la prison locale Al Arjat 1 souligne que ledit détenu a présenté, vendredi matin, une note manuscrite, dans laquelle il annonce mettre fin à la grève de la faim qu'il avait entamée jeudi. Le détenu, poursuit la même source, a reçu son repas et demandé au fonctionnaire de le réchauffer, avant de le manger".
Et d'ajouter qu'alors que le détenu recevait la visite de son avocat et de son fils, celui-ci a réprimandé son père et lui a fortement hurlé dessus, l'exhortant de revenir sur sa décision de suspendre la grève de la faim, ce qui est contraire à ses allégations et au communiqué attribué à la famille dudit détenu.
S'agissant du déni de l'incident survenu la veille lorsque le détenu avait jeté son plateau de petit-déjeuner au fonctionnaire chargé de la distribution des repas, la direction de l'établissement précise que ces faits sont se sont déroulés sous les caméras de vidéosurveillance placées à l'intérieur de l'établissement, et qu'ils ont fait l'objet d'une correspondance avec les juridictions compétentes, poursuit la même source.
La direction de l’établissement conclut que les agissements du fils et de l’avocat du détenu ne sont qu'une tentative vaine de victimiser ce dernier à travers ce coup de théâtre flagrant.
Et d'ajouter qu'alors que le détenu recevait la visite de son avocat et de son fils, celui-ci a réprimandé son père et lui a fortement hurlé dessus, l'exhortant de revenir sur sa décision de suspendre la grève de la faim, ce qui est contraire à ses allégations et au communiqué attribué à la famille dudit détenu.
S'agissant du déni de l'incident survenu la veille lorsque le détenu avait jeté son plateau de petit-déjeuner au fonctionnaire chargé de la distribution des repas, la direction de l'établissement précise que ces faits sont se sont déroulés sous les caméras de vidéosurveillance placées à l'intérieur de l'établissement, et qu'ils ont fait l'objet d'une correspondance avec les juridictions compétentes, poursuit la même source.
La direction de l’établissement conclut que les agissements du fils et de l’avocat du détenu ne sont qu'une tentative vaine de victimiser ce dernier à travers ce coup de théâtre flagrant.