Ces détenus, répartis sur 48 centres au niveau national, passent leurs examens, à l’instar de tous les autres candidats aux examens, dans des conditions de sécurité sanitaire maximale dans le contexte du coronavirus.
Dans une déclaration à la presse, le ministre de l’Education, Saaid Amzazi, a applaudi la coordination entre la direction provinciale de l’éducation nationale, l’Académie régionale de Casablanca-Settat et la prison locale, qui a rendu possible l’organisation de ces examens dans de bonnes dispositions.
Grâce à cette coopération, les pensionnaires des établissements pénitentiaires peuvent passer les examens dans des conditions propices, à la lumière du protocole de précaution et de prévention mis au point par les autorités compétentes.
Pour sa part, le directeur de l'action socio-culturelle au profit des détenues et de la réinsertion à la DGAPR, Moulay Driss Aguelmam, a assuré que son institution est soucieuse de permettre aux pensionnaires de jouir de l'un de leurs droits élémentaires qu'est l'éducation, à travers l'organisation de ces épreuves au sein des établissements pénitentiaires.
La conjoncture liée à la pandémie du coronavirus a imposé la création de nouveaux centres d'examens, passés cette année de 15 à 48 centres, pour pouvoir faire respecter les consignes sanitaires, en limitant les transferts des candidats vers des centres externes.
Dans une déclaration à la presse, le ministre de l’Education, Saaid Amzazi, a applaudi la coordination entre la direction provinciale de l’éducation nationale, l’Académie régionale de Casablanca-Settat et la prison locale, qui a rendu possible l’organisation de ces examens dans de bonnes dispositions.
Grâce à cette coopération, les pensionnaires des établissements pénitentiaires peuvent passer les examens dans des conditions propices, à la lumière du protocole de précaution et de prévention mis au point par les autorités compétentes.
Pour sa part, le directeur de l'action socio-culturelle au profit des détenues et de la réinsertion à la DGAPR, Moulay Driss Aguelmam, a assuré que son institution est soucieuse de permettre aux pensionnaires de jouir de l'un de leurs droits élémentaires qu'est l'éducation, à travers l'organisation de ces épreuves au sein des établissements pénitentiaires.
La conjoncture liée à la pandémie du coronavirus a imposé la création de nouveaux centres d'examens, passés cette année de 15 à 48 centres, pour pouvoir faire respecter les consignes sanitaires, en limitant les transferts des candidats vers des centres externes.