Né dans le Nord au début des années soixante, son père meurt quand il n’a que quatre ans et sa mère, immigrée italienne, est femme de ménage. En 1957, Son grand-père maternel est retrouvé mort dans des circonstances suspectes, mais aucune enquête ne sera ouverte. Un drame qui marquera profondément l’histoire familiale et le jeune Eric Dupond-Moretti.
Mû par un sentiment d’injustice, il décide de devenir avocat pénaliste et commence ses études de droit. En 1984, il fait son serment d’avocat à Douai (Hauts de France) et se démarque par son éloquence, qui deviendra sa marque et sa signature. Les procès se suivent et se succèdent et Eric Dupond-Moretti, par sa persévérance, son intelligence et son charisme, se fait une place dans le monde très difficile du barreau où il s’affiche comme une grande gueule détestant le politiquement correct.
Avocat médiatique, il devient un habitué des plateaux de télévision où son sens de la formule détonne et ses piques qui dérangent sont reprises, commentées et disséquées en long et en large.
A la rentrée, il devait tenir une chronique d’humeur sur Europe 1 où il aurait donné libre cours à sa verve et à son franc-parler. Si la première qualité est requise chez un ministrable, la seconde, par contre, l’est beaucoup moins : un ministre étant tenu de peser chacun de ses mots et de cerner au mieux le politiquement correct. Eric Dupond-Moretti change donc de casquette mais pas de robe. Ce ténor du barreau à la grande gueule devra se familiariser avec l’exercice de la politique dans un domaine qu’il maîtrise à la perfection : celui de la Justice. Mais il devra avant tout aplanir ses relations avec le monde de la magistrature qui sont pour le moins tendues, selon les observateurs. Une mission qui s’annonce délicate, alors que l’USM, principal syndicat de magistrat, a réagi à sa nomination en dénonçant « une déclaration de guerre à la magistrature ».
Mais l'homme habitué aux procès difficiles, saura aplanir les écueils qui pourraient se dresser su son chemin. Sa longue expérience, son humanisme et son intelligence lui seront d'une grande aide. Lui qui remporte toujours ses procès !!!
Mû par un sentiment d’injustice, il décide de devenir avocat pénaliste et commence ses études de droit. En 1984, il fait son serment d’avocat à Douai (Hauts de France) et se démarque par son éloquence, qui deviendra sa marque et sa signature. Les procès se suivent et se succèdent et Eric Dupond-Moretti, par sa persévérance, son intelligence et son charisme, se fait une place dans le monde très difficile du barreau où il s’affiche comme une grande gueule détestant le politiquement correct.
Avocat médiatique, il devient un habitué des plateaux de télévision où son sens de la formule détonne et ses piques qui dérangent sont reprises, commentées et disséquées en long et en large.
A la rentrée, il devait tenir une chronique d’humeur sur Europe 1 où il aurait donné libre cours à sa verve et à son franc-parler. Si la première qualité est requise chez un ministrable, la seconde, par contre, l’est beaucoup moins : un ministre étant tenu de peser chacun de ses mots et de cerner au mieux le politiquement correct. Eric Dupond-Moretti change donc de casquette mais pas de robe. Ce ténor du barreau à la grande gueule devra se familiariser avec l’exercice de la politique dans un domaine qu’il maîtrise à la perfection : celui de la Justice. Mais il devra avant tout aplanir ses relations avec le monde de la magistrature qui sont pour le moins tendues, selon les observateurs. Une mission qui s’annonce délicate, alors que l’USM, principal syndicat de magistrat, a réagi à sa nomination en dénonçant « une déclaration de guerre à la magistrature ».
Mais l'homme habitué aux procès difficiles, saura aplanir les écueils qui pourraient se dresser su son chemin. Sa longue expérience, son humanisme et son intelligence lui seront d'une grande aide. Lui qui remporte toujours ses procès !!!