En guise de réponse aux nombreux signes de bonne volonté exprimés par la plus grande autorité du Royaume en la personne de Sa Majesté le Roi Mohammed VI qui avait tendu une main amicale à l'Algérie à l'occasion du dernier discours du trône, allant même jusqu'à proposer, dix jours plus tard, son aide logistique pour combattre les nombreux feux de forêt qui embrasaient leur pays, les militaires algériens par la voix de leur marionnette, l'autoproclamé président Abdelmajid Tebboune, viennent de monter de plusieurs crans dans leur attitude hostile et belliqueuse envers le Maroc.
À l'issue d'une réunion du Haut conseil de sécurité algérien, Tebboune, qui a visiblement pris l’habitude de faire des sorties médiatiques ubuesques, a indiqué que la plupart des incendies étaient d'origine «criminelle», accusant le Maroc d'être impliqué dans cette catastrophe qui a ravagé le nord de l’Algérie.
Noyée dans les thèses complotistes, la présidence algérienne a déclaré dans un communiqué que «les actes hostiles incessants perpétrés par le Maroc et son allié, l'entité sioniste (Ndlr : Israël) contre l'Algérie, ont nécessité la révision des relations entre les deux pays et l'intensification des contrôles sécuritaires aux frontières Ouest». Sans présenter aucune preuve tangible, le régime algérien avance que le Maroc et Israël soutiennent et aident «les deux mouvements terroristes MAK et Rachad», qu’il tient pour responsables du drame que vit le pays.
Des allégations étonnantes puisque le Royaume avait promptement et fraternellement réagi après le déclenchement des feux, exprimant sa disponibilité à aider l’Algérie en proposant la mobilisation de deux Canadairs, alors que les flammes envahissaient également quelques régions du Maroc. C’est d’ailleurs grâce à ces mêmes avions que les autorités marocaines ont pu maîtriser totalement les incendies qui ont ravagé, en cinq jours, plus de 1.100 hectares d'une forêt dans le nord du Maroc.
Il faut donc se rendre à l’évidence qu’il s’agit, une fois de plus, d’une tentative surannée de la junte militaire algérienne, visant à détourner l’attention du peuple algérien frère vers l’extérieur à un moment où il y a réellement feu dans la demeure algérienne, qui met en péril sa propre légitimité.
Pour rappel, le rétablissement propre et net de la souveraineté marocaine sur le passage frontalier d'El Guergarate, le 13 novembre 2020, suivi par la reconnaissance américaine de la souveraineté pleine et entière du Royaume sur son Sahara, le 10 décembre de la même année, avait sonné le glas de quatre décennies de manigances algériennes à l'encontre de l'intégrité territoriale du Maroc.
L'effritement des thèses séparatistes aux quatre coins du globe, accompagné en parallèle par la multiplication des ouvertures de consulats de pays amis, et même autrefois ennemis dans ces mêmes provinces du Sud, conjuguée à la succession de victoires diplomatiques marocaine, a visiblement déstabilisé les desseins du régime algérien qui se trouve aujourd'hui au pied du mur en interne, comme à l'international. D'où les tentatives de fuite en avant à travers la création d'un ennemi extérieur imaginaire, l'entretien d'une ambiance de complot où le Maroc est constamment désigné comme l'ennemi originel et la multiplication des provocations à son encontre en vue de faire diversion sur une situation interne devenue plus qu'explosive.
À l'issue d'une réunion du Haut conseil de sécurité algérien, Tebboune, qui a visiblement pris l’habitude de faire des sorties médiatiques ubuesques, a indiqué que la plupart des incendies étaient d'origine «criminelle», accusant le Maroc d'être impliqué dans cette catastrophe qui a ravagé le nord de l’Algérie.
Noyée dans les thèses complotistes, la présidence algérienne a déclaré dans un communiqué que «les actes hostiles incessants perpétrés par le Maroc et son allié, l'entité sioniste (Ndlr : Israël) contre l'Algérie, ont nécessité la révision des relations entre les deux pays et l'intensification des contrôles sécuritaires aux frontières Ouest». Sans présenter aucune preuve tangible, le régime algérien avance que le Maroc et Israël soutiennent et aident «les deux mouvements terroristes MAK et Rachad», qu’il tient pour responsables du drame que vit le pays.
Des allégations étonnantes puisque le Royaume avait promptement et fraternellement réagi après le déclenchement des feux, exprimant sa disponibilité à aider l’Algérie en proposant la mobilisation de deux Canadairs, alors que les flammes envahissaient également quelques régions du Maroc. C’est d’ailleurs grâce à ces mêmes avions que les autorités marocaines ont pu maîtriser totalement les incendies qui ont ravagé, en cinq jours, plus de 1.100 hectares d'une forêt dans le nord du Maroc.
Il faut donc se rendre à l’évidence qu’il s’agit, une fois de plus, d’une tentative surannée de la junte militaire algérienne, visant à détourner l’attention du peuple algérien frère vers l’extérieur à un moment où il y a réellement feu dans la demeure algérienne, qui met en péril sa propre légitimité.
Pour rappel, le rétablissement propre et net de la souveraineté marocaine sur le passage frontalier d'El Guergarate, le 13 novembre 2020, suivi par la reconnaissance américaine de la souveraineté pleine et entière du Royaume sur son Sahara, le 10 décembre de la même année, avait sonné le glas de quatre décennies de manigances algériennes à l'encontre de l'intégrité territoriale du Maroc.
L'effritement des thèses séparatistes aux quatre coins du globe, accompagné en parallèle par la multiplication des ouvertures de consulats de pays amis, et même autrefois ennemis dans ces mêmes provinces du Sud, conjuguée à la succession de victoires diplomatiques marocaine, a visiblement déstabilisé les desseins du régime algérien qui se trouve aujourd'hui au pied du mur en interne, comme à l'international. D'où les tentatives de fuite en avant à travers la création d'un ennemi extérieur imaginaire, l'entretien d'une ambiance de complot où le Maroc est constamment désigné comme l'ennemi originel et la multiplication des provocations à son encontre en vue de faire diversion sur une situation interne devenue plus qu'explosive.