Bien que beaucoup connaissent d’extrêmes difficultés financières dans le secteur de la restauration à cause de la pandémie du nouveau Coronavirus, certains décident quand-même de prendre le risque d’ouvrir un nouvel établissement dans la capitale. Un pari de dingue ?
Cafés, restaurants et pubs, piliers de la vie sociale
Boqueria Fina est un nouveau restaurant qui se veut cosy est accessible. Situé à l’avenue Oqba du quartier Agdal, l’ouverture du nouveau spot est prévue après Aïd Al Adha, au mois d’août.
« Nous profiterons de cette période pour peaufiner les détails et former le personnel afin d’être opérationnels à la rentrée de manière parfaite », nous précise le propriétaire.
Alors que nombre d’établissements, ont dû fermer depuis la fin mars, la réouverture des lieux répond à des préoccupations économiques et sociales. Elle aide non seulement à compenser les pertes entraînées, mais permet aussi à la population de retrouver une vie sociale, plus ou moins normale. Contacté par « L’Opinion », le propriétaire du nouvel établissement mais aussi de Boca Grande Rabat nous éclaire sur la situation : « Nous avons choisi de réouvrir malgré une activité réduite par devoir pour le personnel. Nous faisons vivre une vingtaine de familles et nous nous devons de générer un peu de revenus pour les rémunérer. De plus les loyers sont dus aux propriétaires, seule l’activité, même réduite le permet ».
Il avoue que « la période a été difficile, des investissements ont été ajournés et nous faisons le maximum avec l’aide des banques pour maintenir l’emploi et l’activité ».
Il fait également savoir qu’un plan de relance a été mis en œuvre pour le bon déroulement de la reprise : « Pour une relance d’activité équitable et efficace, nous avons proposé une rotation au personnel pour faire travailler tout le monde dans la mesure du possible en attendant une reprise pleine et le retour de l’emploi à temps complet pour tous ».
Rappelons aussi que pour cette nouvelle étape de reprise de l’activité, ces établissements (qui n’étaient autorisés à fonctionner qu’avec des livraisons à domicile ), peuvent désormais recevoir des clients jusqu’à 50 % de leur capacité d’accueil.
Une ouverture non sans risque
Ouvrir dans le quartier de l’Agdal n’est pas sans soucis. En effet, les apéros tardifs peuvent très mal se finir. Certains établissements ont déjà été dénoncés par des voisins, se plaignant de nuisances sonores provoquées par l’établissement, quand ce n’est pas le comportement, quelques fois, insolent des clients.
Ceci dit, « Nous sommes au cœur de l’Agdal dans le quartier des administrations et des entreprises. Nous avons réalisé l’isolation nécessaire pour ne pas déranger le voisinage », rassure Hakim Allali.
Cafés, restaurants et pubs, piliers de la vie sociale
Boqueria Fina est un nouveau restaurant qui se veut cosy est accessible. Situé à l’avenue Oqba du quartier Agdal, l’ouverture du nouveau spot est prévue après Aïd Al Adha, au mois d’août.
« Nous profiterons de cette période pour peaufiner les détails et former le personnel afin d’être opérationnels à la rentrée de manière parfaite », nous précise le propriétaire.
Alors que nombre d’établissements, ont dû fermer depuis la fin mars, la réouverture des lieux répond à des préoccupations économiques et sociales. Elle aide non seulement à compenser les pertes entraînées, mais permet aussi à la population de retrouver une vie sociale, plus ou moins normale. Contacté par « L’Opinion », le propriétaire du nouvel établissement mais aussi de Boca Grande Rabat nous éclaire sur la situation : « Nous avons choisi de réouvrir malgré une activité réduite par devoir pour le personnel. Nous faisons vivre une vingtaine de familles et nous nous devons de générer un peu de revenus pour les rémunérer. De plus les loyers sont dus aux propriétaires, seule l’activité, même réduite le permet ».
Il avoue que « la période a été difficile, des investissements ont été ajournés et nous faisons le maximum avec l’aide des banques pour maintenir l’emploi et l’activité ».
Il fait également savoir qu’un plan de relance a été mis en œuvre pour le bon déroulement de la reprise : « Pour une relance d’activité équitable et efficace, nous avons proposé une rotation au personnel pour faire travailler tout le monde dans la mesure du possible en attendant une reprise pleine et le retour de l’emploi à temps complet pour tous ».
Rappelons aussi que pour cette nouvelle étape de reprise de l’activité, ces établissements (qui n’étaient autorisés à fonctionner qu’avec des livraisons à domicile ), peuvent désormais recevoir des clients jusqu’à 50 % de leur capacité d’accueil.
Une ouverture non sans risque
Ouvrir dans le quartier de l’Agdal n’est pas sans soucis. En effet, les apéros tardifs peuvent très mal se finir. Certains établissements ont déjà été dénoncés par des voisins, se plaignant de nuisances sonores provoquées par l’établissement, quand ce n’est pas le comportement, quelques fois, insolent des clients.
Ceci dit, « Nous sommes au cœur de l’Agdal dans le quartier des administrations et des entreprises. Nous avons réalisé l’isolation nécessaire pour ne pas déranger le voisinage », rassure Hakim Allali.
Kenza AZIOUZI
