Le Musée Mohammed VI d’Art moderne et contemporain (MMVI), accueillera une exposition s’intitulant « Le parcours de l’art marocain depuis 1914 ».
Contacté par « L’Opinion », le directeur du MMVI, Abdelaziz El Idrissi nous déclare que cette exposition nous fera revivre le parcours de l’art marocain depuis Ben Ali Rbati.
Un cheminement chronologique qui évoque les grands courants qui ont régné à partir des années 50.
« Le courant des années cinquante sera notamment représenté par non seulement Mohamed Sarghini et ses contemporains, mais aussi par les artistes qui ont gravité, dès l’établissement des écoles des beaux-arts de Tétouan et de Casablanca, autour du «mouvement de Casablanca», déclare Abdelaziz El Idrissi.
Selon le directeur du MMVI, l’exposition portera sur deux axes majeurs, à savoir les collections de l’Académie du Royaume et du ministère de la Culture, toutes deux réunies dans l’objectif d’élaborer ce parcours riche et intéressant pour l’histoire de l’art du Maroc.
Le public aura ainsi l’occasion de découvrir certaines œuvres qui n’ont jamais été présentées auparavant, notamment les travaux de Kacimi, Bellamine, Gharbaoui, Cherkaoui, Bennani, Melehi, Hamidi, Hariri, Hamri et Yacoubi, des artistes qui ont su conjuguer les influences européennes à partir des années trente, révèle-t-il.
D’autres expositions
A cette exposition succèdera une autre qui sera entièrement dédiée à l’artiste Jilali Gharbaoui « considéré comme étant le premier peintre marocain à avoir choisi ce mode d’expression picturale. Cette exposition mettra en évidence son travail des années 50 jusqu’à sa disparition.
Une vingtaine de créations seront à l’honneur », atteste le directeur. L’exposition est prévue pour le mois d’août. Aussi, une rétrospective de Fouad Bellamine « un personnage important dans l’histoire moderne et contemporaine du Maroc » est en cours de préparation et prévue pour mi-octobre. « C’est la première fois qu’a lieu une rétrospective d’un artiste de son vivant ».
Si la pandémie a peut-être freiné les activités du musée, il n’en demeure pas moins qu’il a toujours continué à abattre du travail.
En effet, au cours de la période du confinement, « plusieurs musées du Royaume ont été restaurés, des chantiers de numérisation ont été lancés, des chantiers d’acquisition aussi et bien d’autres ». D’ailleurs, « la digitalisation nous permet de mieux élaborer les états des objets, de faire le diagnostic des collections et rendre les collections accessibles au public marocain. Une évolution qui va continuer, qui concernera tous les musées du Maroc », affirme M. El idrissi.
Contacté par « L’Opinion », le directeur du MMVI, Abdelaziz El Idrissi nous déclare que cette exposition nous fera revivre le parcours de l’art marocain depuis Ben Ali Rbati.
Un cheminement chronologique qui évoque les grands courants qui ont régné à partir des années 50.
« Le courant des années cinquante sera notamment représenté par non seulement Mohamed Sarghini et ses contemporains, mais aussi par les artistes qui ont gravité, dès l’établissement des écoles des beaux-arts de Tétouan et de Casablanca, autour du «mouvement de Casablanca», déclare Abdelaziz El Idrissi.
Selon le directeur du MMVI, l’exposition portera sur deux axes majeurs, à savoir les collections de l’Académie du Royaume et du ministère de la Culture, toutes deux réunies dans l’objectif d’élaborer ce parcours riche et intéressant pour l’histoire de l’art du Maroc.
Le public aura ainsi l’occasion de découvrir certaines œuvres qui n’ont jamais été présentées auparavant, notamment les travaux de Kacimi, Bellamine, Gharbaoui, Cherkaoui, Bennani, Melehi, Hamidi, Hariri, Hamri et Yacoubi, des artistes qui ont su conjuguer les influences européennes à partir des années trente, révèle-t-il.
D’autres expositions
A cette exposition succèdera une autre qui sera entièrement dédiée à l’artiste Jilali Gharbaoui « considéré comme étant le premier peintre marocain à avoir choisi ce mode d’expression picturale. Cette exposition mettra en évidence son travail des années 50 jusqu’à sa disparition.
Une vingtaine de créations seront à l’honneur », atteste le directeur. L’exposition est prévue pour le mois d’août. Aussi, une rétrospective de Fouad Bellamine « un personnage important dans l’histoire moderne et contemporaine du Maroc » est en cours de préparation et prévue pour mi-octobre. « C’est la première fois qu’a lieu une rétrospective d’un artiste de son vivant ».
Si la pandémie a peut-être freiné les activités du musée, il n’en demeure pas moins qu’il a toujours continué à abattre du travail.
En effet, au cours de la période du confinement, « plusieurs musées du Royaume ont été restaurés, des chantiers de numérisation ont été lancés, des chantiers d’acquisition aussi et bien d’autres ». D’ailleurs, « la digitalisation nous permet de mieux élaborer les états des objets, de faire le diagnostic des collections et rendre les collections accessibles au public marocain. Une évolution qui va continuer, qui concernera tous les musées du Maroc », affirme M. El idrissi.
Kenza AZIOUZI