La cérémonie d’inauguration du nouveau siège de l›Institut pilote Confucius a connu la présence du Directeur général de l’Agence marocaine de presse (MAP), Khalil Hachimi Idrissi, du président de l’Université Mohammed V de Rabat, Mohamed El Ghachi, de l’ambassadeur de la République populaire de Chine au Maroc, Li Changlin, et des directrices de l’Institut, Karima Yatribi et Li Ning.
S’exprimant à cette occasion, Mohamed El Ghachi a indiqué que l’inauguration du nouveau siège de l’Institut pilote Confucius est le fruit des efforts et de l’engagement de plusieurs intervenants et partenaires du Maroc et de la Chine.
« L’Institut Confucius de Rabat est soucieux de dispenser une formation académique et un encadrement culturel de qualité aux jeunes et adultes intéressés par la langue et la culture chinoises, en plus de sa participation aux programmes de formation des enseignants de la langue chinoise », a-t-il dit.
Les relations entre le Maroc et la Chine ne cessent de se développer sur tous les plans, s’est-il félicité, notant que ces relations ont connu une nouvelle dynamique suite au lancement d’un partenariat stratégique entre les deux pays en 2016.
De son côté, l’ambassadeur de la République populaire de Chine au Maroc a exprimé sa joie de prendre part à cette cérémonie qui reflète la dynamique ascendante des échanges culturels entre les deux pays qui demeurent déterminés à renforcer leur coopération dans le cadre du partenariat stratégique qui les lie.
Le Maroc, comme la Chine, est un pays qui se démarque par son Histoire millénaire et sa culture aussi riche qu’authentique, a souligné Li Changlin, notant que le Royaume est le seul pays arabe à accueillir sur son sol trois Instituts Confucius, « ce qui illustre l’engagement de la Chine à mobiliser toutes les ressources nécessaires en vue de faire avancer la coopération entre nos deux pays ».
Dans son intervention, Karima Yatribi s’est réjouie de l’inauguration du nouveau siège de cet Institut pilote en Afrique, voyant là une reconnaissance de la part de la Chine de l’importance des efforts déployés par l’Institut Confucius du Maroc pour promouvoir la culture chinoise et élargir la base des sinophones dans le Royaume. Créé en 2008, l’Institut Confucius est le fruit d’un partenariat entre l’université Mohammed V et l’université d’études internationales de Pékin.
En 2012, l’Institut a lancé la filière des études chinoises. Des centres de l’Institut Confucius ont été créés aux Universités Ibn Tofail de Kénitra, Ibn Zohr d’Agadir et Sidi Mohamed Ben Abdellah de Fès.
S’exprimant à cette occasion, Mohamed El Ghachi a indiqué que l’inauguration du nouveau siège de l’Institut pilote Confucius est le fruit des efforts et de l’engagement de plusieurs intervenants et partenaires du Maroc et de la Chine.
« L’Institut Confucius de Rabat est soucieux de dispenser une formation académique et un encadrement culturel de qualité aux jeunes et adultes intéressés par la langue et la culture chinoises, en plus de sa participation aux programmes de formation des enseignants de la langue chinoise », a-t-il dit.
Les relations entre le Maroc et la Chine ne cessent de se développer sur tous les plans, s’est-il félicité, notant que ces relations ont connu une nouvelle dynamique suite au lancement d’un partenariat stratégique entre les deux pays en 2016.
De son côté, l’ambassadeur de la République populaire de Chine au Maroc a exprimé sa joie de prendre part à cette cérémonie qui reflète la dynamique ascendante des échanges culturels entre les deux pays qui demeurent déterminés à renforcer leur coopération dans le cadre du partenariat stratégique qui les lie.
Le Maroc, comme la Chine, est un pays qui se démarque par son Histoire millénaire et sa culture aussi riche qu’authentique, a souligné Li Changlin, notant que le Royaume est le seul pays arabe à accueillir sur son sol trois Instituts Confucius, « ce qui illustre l’engagement de la Chine à mobiliser toutes les ressources nécessaires en vue de faire avancer la coopération entre nos deux pays ».
Dans son intervention, Karima Yatribi s’est réjouie de l’inauguration du nouveau siège de cet Institut pilote en Afrique, voyant là une reconnaissance de la part de la Chine de l’importance des efforts déployés par l’Institut Confucius du Maroc pour promouvoir la culture chinoise et élargir la base des sinophones dans le Royaume. Créé en 2008, l’Institut Confucius est le fruit d’un partenariat entre l’université Mohammed V et l’université d’études internationales de Pékin.
En 2012, l’Institut a lancé la filière des études chinoises. Des centres de l’Institut Confucius ont été créés aux Universités Ibn Tofail de Kénitra, Ibn Zohr d’Agadir et Sidi Mohamed Ben Abdellah de Fès.
Marocains et mandarin, un lien de plus en plus solide
Le Maroc est l’un des rares pays dans la région à disposer de trois instituts Confucius, dans les villes de Tanger, Rabat et Casablanca.
En fait, l’institut contribue au développement d’opportunités d’apprentissage du mandarin pour les jeunes marocains en vue de leur permettre de jouer un rôle d’ambassadeur dans les échanges entre les deux cultures, avait expliqué l’ex ambassadeur de la République populaire de Chine au Maroc, Li Li lors d’une cérémonie organisée en célébration du 3ème anniversaire de l’Institut Confucius à l’Université Abdelmalek Essaâdi.
En termes de chiffres, au cours de la période 2017-2020, 2.600 étudiants se sont inscrits à l’institut Confucius et une cinquantaine d’étudiants ont bénéficié d’un stage d’immersion en Chine, avait-il expliqué.
En fait, l’institut contribue au développement d’opportunités d’apprentissage du mandarin pour les jeunes marocains en vue de leur permettre de jouer un rôle d’ambassadeur dans les échanges entre les deux cultures, avait expliqué l’ex ambassadeur de la République populaire de Chine au Maroc, Li Li lors d’une cérémonie organisée en célébration du 3ème anniversaire de l’Institut Confucius à l’Université Abdelmalek Essaâdi.
En termes de chiffres, au cours de la période 2017-2020, 2.600 étudiants se sont inscrits à l’institut Confucius et une cinquantaine d’étudiants ont bénéficié d’un stage d’immersion en Chine, avait-il expliqué.