Conçue en partenariat avec la Rabita Mohammadia des Oulémas, ladite conférence a connu la participation d’une pléiade d’experts rassemblés autour de trois panels : « les nouveaux modèles de gouvernance des données », « le référentiel moral pour le respect de la vie privée au sein d’une civilisation de données » et « les grandes philosophies internationales de circulation de la donnée à caractère personnel ».
Par ailleurs, la conférence s’est penchée sur le « data altruism » qui désigne le consentement des personnes à utiliser leurs données personnelles, à des fins d’intérêt général, y compris celles relatives à la recherche scientifique ou à l’amélioration des services publics.
La conférence a ainsi été caractérisée par la présentation de l’expérience des Nations Unies en la matière à travers son ancien rapporteur sur le droit à la vie privée, Joe Cannataci.
Lors de son intervention, le président de la CNDP, Omar Seghrouchni, a considéré qu’« il est vain d’enfermer la donnée à caractère personnel dans un coffre fort et de s’interdire de partager et d’échanger à l’ère du digital». L’important c’est que « la protection doit porter sur la circulation de la donnée à caractère personnel », a-t-il insisté, précisant que « tous les maillons de la chaîne de circulation doivent être réglementés et couverts par une juridiction ».
Cette conférence a été marquée aussi par l’annonce d’une émission de timbre-poste commémorant la 17ème édition de la Journée internationale de la protection des données personnelles, fruit d’un partenariat entre la CNDP et Barid Al-Maghrib.
Par ailleurs, la conférence s’est penchée sur le « data altruism » qui désigne le consentement des personnes à utiliser leurs données personnelles, à des fins d’intérêt général, y compris celles relatives à la recherche scientifique ou à l’amélioration des services publics.
La conférence a ainsi été caractérisée par la présentation de l’expérience des Nations Unies en la matière à travers son ancien rapporteur sur le droit à la vie privée, Joe Cannataci.
Lors de son intervention, le président de la CNDP, Omar Seghrouchni, a considéré qu’« il est vain d’enfermer la donnée à caractère personnel dans un coffre fort et de s’interdire de partager et d’échanger à l’ère du digital». L’important c’est que « la protection doit porter sur la circulation de la donnée à caractère personnel », a-t-il insisté, précisant que « tous les maillons de la chaîne de circulation doivent être réglementés et couverts par une juridiction ».
Cette conférence a été marquée aussi par l’annonce d’une émission de timbre-poste commémorant la 17ème édition de la Journée internationale de la protection des données personnelles, fruit d’un partenariat entre la CNDP et Barid Al-Maghrib.