Dans un appel d’offres lancé dernièrement, l’ONEE a précisé que les études spécifiques à ce projet de grande envergure seront menées dans un délai de 14 mois, pour un budget de 8,5 millions de dirhams.
L’aire de l’étude concerne Rabat, Salé, Kénitra, Skhirat, Témara, Bouznika, Ben Slimane, Sidi Yahia Zaers, Tamesna, Ain Aouda, Rommani, Mehdia, Sidi Taibi, Bouknadel, ainsi que les zones rurales qui y sont rattachées.
Dans le détail, les études menées concernent la prise d’eau de mer, la station de dessalement, les réservoirs d’eau dessalée, les ouvrages de rejet des saumures ainsi que les adductions d’eau potable vers les villes concernées.
Par le biais de ces études, l’ONEE cherche à effectuer une analyse des besoins en eau potable et à évaluer les besoins initialement établis. Il s’agit également d ‘évaluer les ressources actuellement mobilisées pour l’alimentation en eau potable (AEP) de la zone de Rabat, Kénitra et la zone de Casablanca en tenant compte des changements climatiques.
En ce qui concerne la future station de dessalement, sa capacité sera définie en fonction de l’analyse du bilan des besoins et des ressources. Son débit doit prendre en compte le déficit en eau potable de la zone de Casablanca d’ici 2050.
L’ONEE précise, par ailleurs, qu’il sera procédé à l’identification des sites potentiels et à la vérification de la superficie nécessaire à l’implantation de la station de dessalement. Ainsi, une analyse multicritère sera menée pour choisir le site le plus avantageux du point de vue technico-économique et environnemental.
En outre, ce projet devra aussi prendre en compte, toutes les possibilités d’alimentation en énergie électrique de la future usine, en fonction des tarifs et coûts énergétiques.
Pour rappel, la mise en service des stations de dessalement de l’eau de mer fait partie des grands projets en cours pour atténuer l'impact la problématique du stress hydrique qui sévit dans plusieurs régions du Royaume. Actuellement, l’ONEE s'efforce à accélérer plusieurs chantiers dans ce sens dont la réalisation d’une unité de dessalement à Rabat et à Tanger.
L’aire de l’étude concerne Rabat, Salé, Kénitra, Skhirat, Témara, Bouznika, Ben Slimane, Sidi Yahia Zaers, Tamesna, Ain Aouda, Rommani, Mehdia, Sidi Taibi, Bouknadel, ainsi que les zones rurales qui y sont rattachées.
Dans le détail, les études menées concernent la prise d’eau de mer, la station de dessalement, les réservoirs d’eau dessalée, les ouvrages de rejet des saumures ainsi que les adductions d’eau potable vers les villes concernées.
Par le biais de ces études, l’ONEE cherche à effectuer une analyse des besoins en eau potable et à évaluer les besoins initialement établis. Il s’agit également d ‘évaluer les ressources actuellement mobilisées pour l’alimentation en eau potable (AEP) de la zone de Rabat, Kénitra et la zone de Casablanca en tenant compte des changements climatiques.
En ce qui concerne la future station de dessalement, sa capacité sera définie en fonction de l’analyse du bilan des besoins et des ressources. Son débit doit prendre en compte le déficit en eau potable de la zone de Casablanca d’ici 2050.
L’ONEE précise, par ailleurs, qu’il sera procédé à l’identification des sites potentiels et à la vérification de la superficie nécessaire à l’implantation de la station de dessalement. Ainsi, une analyse multicritère sera menée pour choisir le site le plus avantageux du point de vue technico-économique et environnemental.
En outre, ce projet devra aussi prendre en compte, toutes les possibilités d’alimentation en énergie électrique de la future usine, en fonction des tarifs et coûts énergétiques.
Pour rappel, la mise en service des stations de dessalement de l’eau de mer fait partie des grands projets en cours pour atténuer l'impact la problématique du stress hydrique qui sévit dans plusieurs régions du Royaume. Actuellement, l’ONEE s'efforce à accélérer plusieurs chantiers dans ce sens dont la réalisation d’une unité de dessalement à Rabat et à Tanger.
