Une soirée égayée de poésie et danse, sera donnée le samedi 28 janvier, à 20 heures, au cinéma de la Renaissance de Rabat, par Rim Battal, jeune femme de lettres, en collaboration avec l’Institut Français. La jeune lettrée livrera sur scène une performance poétique et musicale d’un grand raffinement.
Il s’agit d’une danse nuptiale intitulée « Pommes Girl » qui dure toute la nuit sans connaître d’aboutissement. Est mise en scène une femme qui rencontre un homme lors d’une soirée. Tout ce qui se passe ensuite, apparait comme dénotant la singularité par rapport à l’habitude: l’homme demande du feu à la femme, qui est aussi la narratrice du poème.
Elle n’a pas de feu mais elle a une pomme qu’elle croque dès le début de l’histoire. Une pomme qui « n’est pas celle d’Adam, ni celle d’Eve », comme on peut le lire dans le texte.
A l’instar de cette pomme qui s’émancipe de sa mythologie, les corps de nos deux danseurs, entraînés par la musique, s’émancipent de l’injonction à socialiser lors d’une soirée, se guettent, parlent peu mais exécutent de profonds mouvements qui dénotent les affinités d’esprits, grâce à la magie de la musique.
Il s’agit d’une danse nuptiale intitulée « Pommes Girl » qui dure toute la nuit sans connaître d’aboutissement. Est mise en scène une femme qui rencontre un homme lors d’une soirée. Tout ce qui se passe ensuite, apparait comme dénotant la singularité par rapport à l’habitude: l’homme demande du feu à la femme, qui est aussi la narratrice du poème.
Elle n’a pas de feu mais elle a une pomme qu’elle croque dès le début de l’histoire. Une pomme qui « n’est pas celle d’Adam, ni celle d’Eve », comme on peut le lire dans le texte.
A l’instar de cette pomme qui s’émancipe de sa mythologie, les corps de nos deux danseurs, entraînés par la musique, s’émancipent de l’injonction à socialiser lors d’une soirée, se guettent, parlent peu mais exécutent de profonds mouvements qui dénotent les affinités d’esprits, grâce à la magie de la musique.