Les commissions de contrôle des prix ont sillonné les différents marchés et points de ventes dans les deux villes jumelles, notamment, dans le marché central de Rabat, le quartier Yaâcoub El Mansour, le marché de gros de Salé, Laâyayda et Souk Essalihine, et ce, en réponse à l’annonce faite par le chef de l’Exécutif il y a quelques jours. L’objectif étant de suivre de près l’approvisionnement des marchés, les prix pratiqués par les vendeurs et les commerçants, pour lutter contre toute tentative de spéculation et de monopole.
Face à la vague de hausse des prix qui a frappé de plein fouet les légumes et les fruits, mais également les autres produits alimentaires, les citoyens rouspètent tout en subissant le fait accompli. D’où l’importance d’intensifier le contrôle.
Invoquant les conditions météorologiques dues à la sécheresse et à la vague de froid, incontrôlables, les vendeurs des légumes et des fruits nous ont affirmé que les « Chnaka » sont la cause principale de cette inflation.
Le ministère de tutelle a déjà déclaré à cet égard que le marché est approvisionné de manière « normale », voire même abondante. Un constat confirmé par les commissions provinciales mixtes qui se sont rendues sur place. Or, malgré la disponibilité de ces produits, la multiplicité des intermédiaires qui entravent la chaîne de distribution, contribue, qu’on le veuille ou pas, au « boom » des prix.
Les tournées d’inspection menées par lesdites commissions dans le marché de gros à Salé ont rassuré quant à la disponibilité des produits. Toutefois, elles ont insisté sur la nécessité de divulguer et d’afficher les prix pour protéger les droits des consommateurs. Le but essentiel est d’assurer une chaîne d’approvisionnement équitable du producteur au grossiste afin de protéger le pouvoir d’achat des citoyens.
De même pour les visites menées à l’arrondissement Lâayayda, les entités compétentes ont fait le tour des magasins pour s’informer de la qualité des produits mis en vente, de même que pour appeler les commerçants à l’affichage des tarifs.
A Souk Essalihine également, une campagne a été réalisée en vue de contrôler les prix et de sensibiliser davantage les acteurs concernés aux risques des pratiques frauduleuses.
Cette multitude d’actions intervient suite à la réunion qui s’est tenue mardi 7 févier au siège de la préfecture de Salé, et ce, dans le but d’examiner les mesures à mettre en œuvre pour assurer un approvisionnement régulier et suffisant des marchés et faire face à la hausse des prix de certains produits alimentaires.
Pour rappel, les inspections ont permis de recenser un très grand nombre d’infractions et de contraventions, à Rabat où près de 11 tonnes et 800 kilogrammes de denrées alimentaires, dont des produits périmés, ont été saisis au quartier Yaâcoub El Mansour.
Face à la vague de hausse des prix qui a frappé de plein fouet les légumes et les fruits, mais également les autres produits alimentaires, les citoyens rouspètent tout en subissant le fait accompli. D’où l’importance d’intensifier le contrôle.
Invoquant les conditions météorologiques dues à la sécheresse et à la vague de froid, incontrôlables, les vendeurs des légumes et des fruits nous ont affirmé que les « Chnaka » sont la cause principale de cette inflation.
Le ministère de tutelle a déjà déclaré à cet égard que le marché est approvisionné de manière « normale », voire même abondante. Un constat confirmé par les commissions provinciales mixtes qui se sont rendues sur place. Or, malgré la disponibilité de ces produits, la multiplicité des intermédiaires qui entravent la chaîne de distribution, contribue, qu’on le veuille ou pas, au « boom » des prix.
Les tournées d’inspection menées par lesdites commissions dans le marché de gros à Salé ont rassuré quant à la disponibilité des produits. Toutefois, elles ont insisté sur la nécessité de divulguer et d’afficher les prix pour protéger les droits des consommateurs. Le but essentiel est d’assurer une chaîne d’approvisionnement équitable du producteur au grossiste afin de protéger le pouvoir d’achat des citoyens.
De même pour les visites menées à l’arrondissement Lâayayda, les entités compétentes ont fait le tour des magasins pour s’informer de la qualité des produits mis en vente, de même que pour appeler les commerçants à l’affichage des tarifs.
A Souk Essalihine également, une campagne a été réalisée en vue de contrôler les prix et de sensibiliser davantage les acteurs concernés aux risques des pratiques frauduleuses.
Cette multitude d’actions intervient suite à la réunion qui s’est tenue mardi 7 févier au siège de la préfecture de Salé, et ce, dans le but d’examiner les mesures à mettre en œuvre pour assurer un approvisionnement régulier et suffisant des marchés et faire face à la hausse des prix de certains produits alimentaires.
Pour rappel, les inspections ont permis de recenser un très grand nombre d’infractions et de contraventions, à Rabat où près de 11 tonnes et 800 kilogrammes de denrées alimentaires, dont des produits périmés, ont été saisis au quartier Yaâcoub El Mansour.
Réunion interministérielle
Une réunion ministérielle s’est tenue jeudi 9 février au siège du ministère de l’Intérieur à Rabat. Elle a été marquée par l’activation d’une commission interministérielle de haut niveau chargée de la veille qui assurera jusqu’à la fin du mois de Ramadan le suivi de l’état d’approvisionnement des marchés nationaux et des prix des denrées de base, le traitement des problématiques, ainsi que l’encadrement et le renforcement des administrations et instances compétentes.
