Une manifestation a été organisée, vendredi à Rabat, à l’appel de l’Association marocaine des droits des victimes (AMDV), en signe de protestation contre la libération de l’ex PDG du groupe Assu 2000, mis en examen pour viols sur mineurs.
Rassemblés devant l’ambassade de France au Maroc, au quartier de l’Agdal, les manifestants ont fait entendre la voix de victimes dévastées en dénonçant la remise en liberté du criminel. Ils ont rappelé que ce dernier fait aussi face à des accusations à Tanger, en déplorant fermement la décision qui a choqué les sept victimes marocaines et qui, selon la présidente de l’AMDV, Aicha Guellaâ, « encourage l’impunité et porte atteinte à la dignité et la sécurité des victimes ».
Pour rappel, Jacques Bouthier, a été mis en examen pour viols sur mineurs, traite d’être humain, séquestration et harcèlement sexuel. Le lundi 20 mars, l’agresseur a obtenu sa remise en liberté sous contrôle judiciaire, assortie d’une caution de 500.000 euros.
Bouthier est aussi poursuivi au Maroc pour des crimes sexuels graves au même titre que le Franco-Tunisien Amir Messadi, ex-directeur général de la succursale tangéroise d’Assu 2000, qui s'est enfui après avoir su que le parquet allait l’arrêter.
Rassemblés devant l’ambassade de France au Maroc, au quartier de l’Agdal, les manifestants ont fait entendre la voix de victimes dévastées en dénonçant la remise en liberté du criminel. Ils ont rappelé que ce dernier fait aussi face à des accusations à Tanger, en déplorant fermement la décision qui a choqué les sept victimes marocaines et qui, selon la présidente de l’AMDV, Aicha Guellaâ, « encourage l’impunité et porte atteinte à la dignité et la sécurité des victimes ».
Pour rappel, Jacques Bouthier, a été mis en examen pour viols sur mineurs, traite d’être humain, séquestration et harcèlement sexuel. Le lundi 20 mars, l’agresseur a obtenu sa remise en liberté sous contrôle judiciaire, assortie d’une caution de 500.000 euros.
Bouthier est aussi poursuivi au Maroc pour des crimes sexuels graves au même titre que le Franco-Tunisien Amir Messadi, ex-directeur général de la succursale tangéroise d’Assu 2000, qui s'est enfui après avoir su que le parquet allait l’arrêter.