Un communiqué du ministère de l’Economie et des Finances fait état d'informations rassurantes glanées auprès de divers départements ministériels concernés quant à l’approvisionnement des marchés en biens et produits de toute nature, en cette veille de début du mois de Ramadan. Il en ressort que les stocks en toutes les matières de première ou deuxième nécessité sont non seulement suffisants pour le mois sacré, mais ils couvrent largement les besoins des prochains mois, précise le communiqué.
Ainsi, l’offre en céréales et légumineuses correspond à la consommation de 4 mois, sans tenir compte des quantités en cours d’importation après la suspension des droits de douane. Pour les fruits et légumes, les surfaces emblavées et la production estimée permettront de couvrir les besoins jusqu’à la fin de l’année en cours. Les débarquements de poissons devront connaître une hausse après la reprise progressive de l’activité de la pêche, arrêtée en raison de l’état d’urgence sanitaire.
Le communiqué assure également que les prix de la majorité des produits sont stables, précisant que la moyenne des prix des fruits et légumes a continué son trend baissier en comparaison avec la semaine précédente, pour atteindre des taux de -6% pour l’oignon vert, -4% pour les tomates et plus de -3% pour les pommes de terre.
Par ailleurs, au niveau du contrôle des prix et de la qualité des produits alimentaires, les interventions des commissions mixtes provinciales et locales, durant la période du 1 er au 12 courant, ont concerné environ 30.000 points de vente en gros et au détail et des entrepôts de stockage. Elles ont conduit à la constatation de 417 infractions en matière de prix et de qualité des produits alimentaires. Ces infractions sont ventilées en 308 pour défaut d’affichage des prix, 64 pour non présentation de factures, 24 pour hausses illicites de prix réglementés, 9 pour non-respect des normes de qualité et d’hygiène, en plus de plusieurs autres infractions diverses. Les mesures réglementaires ont été prises à l’encontre des contrevenants, selon le communiqué.
Pour ce qui est de la qualité des marchandises et produits stockés ou présentés à la vente, les commissions mixtes ont procédé à la saisie et à la destruction de plus de 166 tonnes de marchandises impropres à la consommation ou non conformes aux normes requises. Ces quantités comprennent 143 tonnes de farines et produits dérivés, 11 tonnes de viandes, poissons et charcuterie, 3 tonnes d’olives et huiles, et plus d’une tonne de lait et dérivés, en plus de diverses quantités comme les jus et boissons, pains, gâteaux et pâtisseries, ainsi que des produits d’hygiène et d’entretien.
En outre, le communiqué annonce que la commission interministérielle, composée des représentants des départements des Affaires Générales et de la Gouvernance relevant du ministère de l’Economie, des Finances, et des départements de l’Intérieur, de l’Agriculture, de l’Industrie et Commerce, et de l’ONICL, l’ONSSA et l’ONP, poursuivra la tenue régulière de ses réunions pour faire face à tout type de fraude, de monopolisation, de spéculation ou de manipulation des prix.
S. K.
Ainsi, l’offre en céréales et légumineuses correspond à la consommation de 4 mois, sans tenir compte des quantités en cours d’importation après la suspension des droits de douane. Pour les fruits et légumes, les surfaces emblavées et la production estimée permettront de couvrir les besoins jusqu’à la fin de l’année en cours. Les débarquements de poissons devront connaître une hausse après la reprise progressive de l’activité de la pêche, arrêtée en raison de l’état d’urgence sanitaire.
Le communiqué assure également que les prix de la majorité des produits sont stables, précisant que la moyenne des prix des fruits et légumes a continué son trend baissier en comparaison avec la semaine précédente, pour atteindre des taux de -6% pour l’oignon vert, -4% pour les tomates et plus de -3% pour les pommes de terre.
Par ailleurs, au niveau du contrôle des prix et de la qualité des produits alimentaires, les interventions des commissions mixtes provinciales et locales, durant la période du 1 er au 12 courant, ont concerné environ 30.000 points de vente en gros et au détail et des entrepôts de stockage. Elles ont conduit à la constatation de 417 infractions en matière de prix et de qualité des produits alimentaires. Ces infractions sont ventilées en 308 pour défaut d’affichage des prix, 64 pour non présentation de factures, 24 pour hausses illicites de prix réglementés, 9 pour non-respect des normes de qualité et d’hygiène, en plus de plusieurs autres infractions diverses. Les mesures réglementaires ont été prises à l’encontre des contrevenants, selon le communiqué.
Pour ce qui est de la qualité des marchandises et produits stockés ou présentés à la vente, les commissions mixtes ont procédé à la saisie et à la destruction de plus de 166 tonnes de marchandises impropres à la consommation ou non conformes aux normes requises. Ces quantités comprennent 143 tonnes de farines et produits dérivés, 11 tonnes de viandes, poissons et charcuterie, 3 tonnes d’olives et huiles, et plus d’une tonne de lait et dérivés, en plus de diverses quantités comme les jus et boissons, pains, gâteaux et pâtisseries, ainsi que des produits d’hygiène et d’entretien.
En outre, le communiqué annonce que la commission interministérielle, composée des représentants des départements des Affaires Générales et de la Gouvernance relevant du ministère de l’Economie, des Finances, et des départements de l’Intérieur, de l’Agriculture, de l’Industrie et Commerce, et de l’ONICL, l’ONSSA et l’ONP, poursuivra la tenue régulière de ses réunions pour faire face à tout type de fraude, de monopolisation, de spéculation ou de manipulation des prix.
S. K.