Interpellé, ce mardi à la Chambre des conseillers, au sujet des révisions des codes de procédure civile et pénale, le ministre de la Justice a affiché sa volonté de dialoguer avec les avocats.
« La porte de mon bureau est ouverte aux avocats et je suis prêt à discuter avec eux », a-t-il déclaré, soulignant que: « chacun doit connaître ses prérogatives, personne ne peut imposer des conditions au dialogue”. Et de noter que s'il y a des amendements à apporter à certains articles, il faudra les définir clairement pour pouvoir entamer leur discussion.
Il convient de rappeler que les avocats du Maroc appellent depuis juillet dernier au retrait du texte du circuit législatif et à la relance urgente du dialogue en vue de trouver un consensus autour de ses dispositions, notamment celles objet de discorde. Depuis le 1er novembre, les avocats du Maroc ont suspendu toutes leurs activités de défense pour protester contre les révisions des Codes de procédure civile et pénale.
« La porte de mon bureau est ouverte aux avocats et je suis prêt à discuter avec eux », a-t-il déclaré, soulignant que: « chacun doit connaître ses prérogatives, personne ne peut imposer des conditions au dialogue”. Et de noter que s'il y a des amendements à apporter à certains articles, il faudra les définir clairement pour pouvoir entamer leur discussion.
Il convient de rappeler que les avocats du Maroc appellent depuis juillet dernier au retrait du texte du circuit législatif et à la relance urgente du dialogue en vue de trouver un consensus autour de ses dispositions, notamment celles objet de discorde. Depuis le 1er novembre, les avocats du Maroc ont suspendu toutes leurs activités de défense pour protester contre les révisions des Codes de procédure civile et pénale.