Le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, a pris part, ce lundi, à la séance mensuelle dédiée à la Politique générale à la Chambre des Représentants, tenue cette fois-ci autour de la réforme du système de santé.
Devant les députés, le responsable s’est attardé sur le déficit de ressources humaines dont souffre l’hôpital public, ainsi que les ambitions de l’Exécutif par rapport à cet aspect, qui pèse lourdement sur la qualité des services dispensés aux citoyens.
Affichant son optimisme mais aussi sa détermination à résoudre la pénurie des professionnels de la santé, le gouvernement s’engage dans une course contre le montre afin d’augmenter progressivement l’effectif des ressources humaines de ce secteur vital à plus de 90 000 d'ici 2025. L’objectif étant, détaille t-il, de dépasser les standards fixés par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), soit la nécessité de mobiliser 24 professionnels par 10.000 habitants.
En réalisant ce pari, le Maroc aurait mobilisé 45 cadres de santé pour 10.000 habitants à l’horizon de 2030, selon le Chef de l'Exécutif.
C’est dans cette perspective, ajoute Aziz Akhannouch, que le gouvernement s’engage, au titre de l’année financière 2024, à créer 5.500 nouveaux postes dédiés à la santé, dans le but d'accompagner les chantiers de développement lancés par le ministère de la Santé et de la Protection sociale et de répondre à ses besoins en ressources humaines, notamment en personnel médical et paramédical.
Ces nouveaux postes s’ajouteront à un total de 16 500 postes financiers créés dans le secteur de la santé et de la protection sociale, depuis son accession au pouvoir.
Afin de préparer les ressources humaines dont le système de santé aura besoin, l’Exécutif a procédé à l’augmentation de l’offre de formation en matière de santé, à travers la création de trois nouvelles facultés de médecine et de pharmacie, en plus de trois centres hospitaliers universitaires (CHU) à Errachidia, Beni-Mellal et à Guelmim.
De plus, il a été procédé à l’augmentation du nombre des sièges pédagogiques destinés aux étudiants des instituts supérieurs des professions infirmières et techniques de santé pour atteindre 6 200 sièges au titre de l’année universitaire en cours au lieu de 4 000 lors de la saison écoulée.
La capacité d’accueil des instituts de formation professionnelle aux métiers de la santé a été portée à 770 sièges en 2023 au lieu de 680 seulement pour l’année universitaire précédente.
Devant les députés, le responsable s’est attardé sur le déficit de ressources humaines dont souffre l’hôpital public, ainsi que les ambitions de l’Exécutif par rapport à cet aspect, qui pèse lourdement sur la qualité des services dispensés aux citoyens.
Affichant son optimisme mais aussi sa détermination à résoudre la pénurie des professionnels de la santé, le gouvernement s’engage dans une course contre le montre afin d’augmenter progressivement l’effectif des ressources humaines de ce secteur vital à plus de 90 000 d'ici 2025. L’objectif étant, détaille t-il, de dépasser les standards fixés par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), soit la nécessité de mobiliser 24 professionnels par 10.000 habitants.
En réalisant ce pari, le Maroc aurait mobilisé 45 cadres de santé pour 10.000 habitants à l’horizon de 2030, selon le Chef de l'Exécutif.
C’est dans cette perspective, ajoute Aziz Akhannouch, que le gouvernement s’engage, au titre de l’année financière 2024, à créer 5.500 nouveaux postes dédiés à la santé, dans le but d'accompagner les chantiers de développement lancés par le ministère de la Santé et de la Protection sociale et de répondre à ses besoins en ressources humaines, notamment en personnel médical et paramédical.
Ces nouveaux postes s’ajouteront à un total de 16 500 postes financiers créés dans le secteur de la santé et de la protection sociale, depuis son accession au pouvoir.
Afin de préparer les ressources humaines dont le système de santé aura besoin, l’Exécutif a procédé à l’augmentation de l’offre de formation en matière de santé, à travers la création de trois nouvelles facultés de médecine et de pharmacie, en plus de trois centres hospitaliers universitaires (CHU) à Errachidia, Beni-Mellal et à Guelmim.
De plus, il a été procédé à l’augmentation du nombre des sièges pédagogiques destinés aux étudiants des instituts supérieurs des professions infirmières et techniques de santé pour atteindre 6 200 sièges au titre de l’année universitaire en cours au lieu de 4 000 lors de la saison écoulée.
La capacité d’accueil des instituts de formation professionnelle aux métiers de la santé a été portée à 770 sièges en 2023 au lieu de 680 seulement pour l’année universitaire précédente.