Les étudiants en médecine, médecine dentaire et pharmacie réagissent au projet de réforme relatif à la durée de leur formation, annoncé par le département d’Abdellatif Miraoui, dans une circulaire adressée aux présidents des universités.
La Commission nationale des étudiants en médecine au Maroc (CNEM) a indiqué, dans un communiqué diffusé mardi, avoir pris attache avec les différents acteurs, notamment le ministère de l’Enseignement supérieur, les doyens des facultés ainsi que les présidents d’universités afin d’avoir plus de détails sur le contenu de cette correspondance.
Selon les informations obtenues par le communiqué, la CNEM a apporté plusieurs précisions sur la réduction des années de formation de 7 à 6 ans, notant que le projet ne prévoit aucun changement dans le programme de formation de la 1ère année à la 5e année d’étude en médecine, selon le régime des études médicales actuellement en vigueur, en attendant que les premières données soient discutées par les parties prenantes.
La même source précise que la CNEM souligne la volonté du ministère de l’Enseignement d’employer l’ensemble des moyens pédagogiques, logistiques et humains nécessaires pour accompagner l’augmentation graduelle du nombre d’étudiants.
La Commission nationale des étudiants en médecine au Maroc (CNEM) a indiqué, dans un communiqué diffusé mardi, avoir pris attache avec les différents acteurs, notamment le ministère de l’Enseignement supérieur, les doyens des facultés ainsi que les présidents d’universités afin d’avoir plus de détails sur le contenu de cette correspondance.
Selon les informations obtenues par le communiqué, la CNEM a apporté plusieurs précisions sur la réduction des années de formation de 7 à 6 ans, notant que le projet ne prévoit aucun changement dans le programme de formation de la 1ère année à la 5e année d’étude en médecine, selon le régime des études médicales actuellement en vigueur, en attendant que les premières données soient discutées par les parties prenantes.
La même source précise que la CNEM souligne la volonté du ministère de l’Enseignement d’employer l’ensemble des moyens pédagogiques, logistiques et humains nécessaires pour accompagner l’augmentation graduelle du nombre d’étudiants.