En réponse à une question orale à la Chambre des Conseillers sur « la situation du transport routier dans le Royaume, sa mise à niveau et l’amélioration des conditions de ses travailleurs », le ministre des Transports et de la Logistique, Mohamed Abdeljalil a indiqué que jusqu’en mois de décembre 2021, la NARSA a traité environ 900 dossiers avec une enveloppe estimée à 140 MDH et que son département se focalise actuellement sur le renouvellement du parc des véhicules, la qualification des ressources humaines et la protection sociale des travailleurs du secteur du transport routier. Il a également relevé que le ministère a adopté plusieurs programmes et mis en place un ensemble de dispositions juridiques afin d’accroître l’attractivité des investissements dans le secteur et d’améliorer les conditions de travail des salariés.
Le ministre a, dans ce sens, noté que le ministère s’est penché dans une première étape sur le renouvellement du parc des véhicules vétustes du transport routier en accordant des primes au profit des bénéficiaires, destinées au renouvellement ou à la casse des véhicules âgés de plus de 20 ans. Le ministère, a-t-il dit, a procédé, en réponse à une demande des professionnels du secteur, dans le cadre de la Loi de finances 2019, à l’élargissement de ce programme aux véhicules de plus de 15 ans et de moins de 20 ans, ainsi qu’à l’augmentation de la valeur des primes et la prolongation du programme jusqu’en 2023. Pour davantage de flexibilité et d’efficacité, le programme a été confié, selon le ministre, à la NARSA, qui a traité comme précité quelques 900 dossiers pour un montant de 140MDHS.
S'agissant de la formation des chauffeurs, le ministre de la tutelle a indiqué que le ministère avait pris en charge les frais de formation dans le cadre de conventions avec l’Office de la Formation Professionnelle et de la Promotion du Travail (OFPPT) et des établissements privés de formation, notant que près de 18.000 conducteurs professionnels ont bénéficié de formation jusqu’en novembre 2021, avec une enveloppe de plus de 30 MDH.
En ce qui concerne la qualification des conducteurs, M. Abdeljalil a précisé que le Code de la route comprend un ensemble de dispositions relatives à la conduite professionnelle permettant la mise à niveau du métier de conducteur, à travers la formation qualifiante initiale et continue en vue de l’obtention d’une carte de conducteur professionnel, ce qui améliorerait les conditions sociales de cette catégorie de professionnels.
Le ministre a, dans ce sens, noté que le ministère s’est penché dans une première étape sur le renouvellement du parc des véhicules vétustes du transport routier en accordant des primes au profit des bénéficiaires, destinées au renouvellement ou à la casse des véhicules âgés de plus de 20 ans. Le ministère, a-t-il dit, a procédé, en réponse à une demande des professionnels du secteur, dans le cadre de la Loi de finances 2019, à l’élargissement de ce programme aux véhicules de plus de 15 ans et de moins de 20 ans, ainsi qu’à l’augmentation de la valeur des primes et la prolongation du programme jusqu’en 2023. Pour davantage de flexibilité et d’efficacité, le programme a été confié, selon le ministre, à la NARSA, qui a traité comme précité quelques 900 dossiers pour un montant de 140MDHS.
S'agissant de la formation des chauffeurs, le ministre de la tutelle a indiqué que le ministère avait pris en charge les frais de formation dans le cadre de conventions avec l’Office de la Formation Professionnelle et de la Promotion du Travail (OFPPT) et des établissements privés de formation, notant que près de 18.000 conducteurs professionnels ont bénéficié de formation jusqu’en novembre 2021, avec une enveloppe de plus de 30 MDH.
En ce qui concerne la qualification des conducteurs, M. Abdeljalil a précisé que le Code de la route comprend un ensemble de dispositions relatives à la conduite professionnelle permettant la mise à niveau du métier de conducteur, à travers la formation qualifiante initiale et continue en vue de l’obtention d’une carte de conducteur professionnel, ce qui améliorerait les conditions sociales de cette catégorie de professionnels.