Réalisée par l’Institut Royal des Etudes Stratégiques, en partenariat avec «Reptrak Company», leader mondial dans le domaine du «Nation Branding», l’étude fait partie des travaux de l’observatoire sur l‘image du Maroc à l’international mis en place par l’IRES en 2015.
Cette visioconférence, tenue le 16 courant, a connu la participation d’un panel comprenant des représentants des secteurs public et privé, des diplomates, ainsi que des experts des questions liées au «Nation Branding».
A titre de rappel, cette étude a porté sur l’analyse de la réputation du Royaume dans les pays du G7+la Russie et dans 16 pays développés ou émergents. Elle a pour objectif de cerner les forces et les insuffisances du Maroc au titre de son image externe et interne et d’identifier les options stratégiques, à même de rehausser cette image et d’en faire un levier d’amélioration de la compétitivité globale du pays et de son attractivité. La sixième édition de l’enquête, administrée entre les mois de mars et de mai, une période de grand confinement, a été marquée par une amélioration très significative de la réputation externe et interne du Royaume.
Ce qu’a déclaré M. Mouline
« L’idée de lancer une série d’études sur la réputation du Maroc dans le monde est intervenue à la suite de la finalisation, en mai 2015, du rapport de l’IRES sur l’évaluation de la richesse globale du Maroc et de son capital immatériel pour la période 1998-2013, qui avait révélé que le capital de marque a un poids important dans le capital immatériel du pays », a souligné Mohammed Tawfik Mouline, Directeur Général de l’IRES.
La particularité de l’enquête de 2020 est qu’elle a été administrée entre les mois de mars et de mai, une période de grand confinement. Elle a concerné un échantillon de 24 pays contre 18 pays en 2015, qui intègre les pays du G7+ la Russie, lesquels représentent des marchés porteurs pour l’offre exportable du Maroc et des marchés émetteurs potentiels de flux touristiques et d’investissements directs à destination du Royaume, et 16 pays développés et/ou émergents, relevant des régions du monde, qui constituent une priorité de la stratégie de positionnement international du Maroc.
Les résultats de l’étude sur la réputation permettent à l’IRES de réaliser, annuellement, un exercice de confrontation entre l’image et la réalité du Maroc, selon toute une batterie d’indicateurs internationaux stratégiques. Par cette initiative, le Maroc figure parmi les rares pays ayant fait le choix volontaire de faire cet exercice et de disposer de nouveaux outils pour mieux conduire sa politique de communication, a souligné M. Mouliine.
Cette visioconférence, tenue le 16 courant, a connu la participation d’un panel comprenant des représentants des secteurs public et privé, des diplomates, ainsi que des experts des questions liées au «Nation Branding».
A titre de rappel, cette étude a porté sur l’analyse de la réputation du Royaume dans les pays du G7+la Russie et dans 16 pays développés ou émergents. Elle a pour objectif de cerner les forces et les insuffisances du Maroc au titre de son image externe et interne et d’identifier les options stratégiques, à même de rehausser cette image et d’en faire un levier d’amélioration de la compétitivité globale du pays et de son attractivité. La sixième édition de l’enquête, administrée entre les mois de mars et de mai, une période de grand confinement, a été marquée par une amélioration très significative de la réputation externe et interne du Royaume.
Ce qu’a déclaré M. Mouline
« L’idée de lancer une série d’études sur la réputation du Maroc dans le monde est intervenue à la suite de la finalisation, en mai 2015, du rapport de l’IRES sur l’évaluation de la richesse globale du Maroc et de son capital immatériel pour la période 1998-2013, qui avait révélé que le capital de marque a un poids important dans le capital immatériel du pays », a souligné Mohammed Tawfik Mouline, Directeur Général de l’IRES.
La particularité de l’enquête de 2020 est qu’elle a été administrée entre les mois de mars et de mai, une période de grand confinement. Elle a concerné un échantillon de 24 pays contre 18 pays en 2015, qui intègre les pays du G7+ la Russie, lesquels représentent des marchés porteurs pour l’offre exportable du Maroc et des marchés émetteurs potentiels de flux touristiques et d’investissements directs à destination du Royaume, et 16 pays développés et/ou émergents, relevant des régions du monde, qui constituent une priorité de la stratégie de positionnement international du Maroc.
Les résultats de l’étude sur la réputation permettent à l’IRES de réaliser, annuellement, un exercice de confrontation entre l’image et la réalité du Maroc, selon toute une batterie d’indicateurs internationaux stratégiques. Par cette initiative, le Maroc figure parmi les rares pays ayant fait le choix volontaire de faire cet exercice et de disposer de nouveaux outils pour mieux conduire sa politique de communication, a souligné M. Mouliine.
A. C.