Au début de son intervention, M. Nizar Baraka a indiqué que sortir de la crise exige un diagnostic de l’état des lieux et une analyse de la gestion publique des conséquences sociales et économiques de la pandémie du Coronavirus. Le PI s’est engagé tôt dans la lutte contre les conséquences de la pandémie, grâce à l’esprit istiqlalien d’anticipation et à l’expertise de ses membres et intellectuels, ce qui a permis de proposer des solutions durables et plausibles, s’est-il félicité.
Parmi les « avantages » de la pandémie, M. Baraka cite la naissance d’un consensus national, qui n’a lieu qu’avec des constantes religieuses et sociales, et un esprit solidaire nationale.
Pendant la période de crise sanitaire et économique, “nous avons mis notre veto au projet de loi n°22.20 relatif aux réseaux sociaux, de diffusion et similaires, lequel projet portait atteinte au droit de la liberté d’expression ».
Nous avons plaidé pour que personne ne soit exclue du soutien financier de l’Etat », at-il détaillé, ajoutant que “nous avons plaidé également pour le rapatriement des Marocains bloqués à l’Etranger et ce, selon des critères spécifiques, ainsi que pour le retour des Marocains Résidant à l’Etranger, dans les meilleures conditions”.
Des plans pour l’après crise
Selon M. Baraka, la sortie de la crise est un moment historique, similaire à celui décrit par feu SM Mohammed V dans Sa célèbre citation : “nous passons du plus petit jihad au plus grand jihad”. En ce sens, il a soutenu qu’il est impératif de continuer à veiller sur la sécurité des Marocains et sur l’amélioration de la vie économique et sociale, d’autant plus que le Maroc est vulnérable à un ralentissement économique historique, ce qui n’est pas sans conséquences sur le chômage et la pauvreté.
“Nous sommes attachés au choix démocratique, prévu par la Constitution du royaume, et aux mécanismes électoraux pour assurer la légitimité populaire dans la gestion des affaires publiques”, a affirmé M. Baraka, avant d’inviter les militants et partisans du PI à se mobiliser en faveur de la réussite de la prochaine campagne électorale, qui est une étape cruciale pour rompre avec le manque de confiance dans les institutions politiques.
Aussi, parmi les éminentes propositions du parti figure la création d’une banque publique d’investissement, capable de soutenir les petites et moyennes entreprises, a-t-il rappelé.
Ainsi, souligne M. Baraka, il est temps de rompre avec les politiques ayant entraîné la baisse de la croissance économique, la recrudescence des taux de chômage et l’approfondissement du fossé entre les plus riches et les plus pauvres, et ce, en vue de construire ensemble un nouveau modèle de développement où justice et équité sont les maîtres mots.
Parmi les « avantages » de la pandémie, M. Baraka cite la naissance d’un consensus national, qui n’a lieu qu’avec des constantes religieuses et sociales, et un esprit solidaire nationale.
Pendant la période de crise sanitaire et économique, “nous avons mis notre veto au projet de loi n°22.20 relatif aux réseaux sociaux, de diffusion et similaires, lequel projet portait atteinte au droit de la liberté d’expression ».
Nous avons plaidé pour que personne ne soit exclue du soutien financier de l’Etat », at-il détaillé, ajoutant que “nous avons plaidé également pour le rapatriement des Marocains bloqués à l’Etranger et ce, selon des critères spécifiques, ainsi que pour le retour des Marocains Résidant à l’Etranger, dans les meilleures conditions”.
Des plans pour l’après crise
Selon M. Baraka, la sortie de la crise est un moment historique, similaire à celui décrit par feu SM Mohammed V dans Sa célèbre citation : “nous passons du plus petit jihad au plus grand jihad”. En ce sens, il a soutenu qu’il est impératif de continuer à veiller sur la sécurité des Marocains et sur l’amélioration de la vie économique et sociale, d’autant plus que le Maroc est vulnérable à un ralentissement économique historique, ce qui n’est pas sans conséquences sur le chômage et la pauvreté.
“Nous sommes attachés au choix démocratique, prévu par la Constitution du royaume, et aux mécanismes électoraux pour assurer la légitimité populaire dans la gestion des affaires publiques”, a affirmé M. Baraka, avant d’inviter les militants et partisans du PI à se mobiliser en faveur de la réussite de la prochaine campagne électorale, qui est une étape cruciale pour rompre avec le manque de confiance dans les institutions politiques.
Aussi, parmi les éminentes propositions du parti figure la création d’une banque publique d’investissement, capable de soutenir les petites et moyennes entreprises, a-t-il rappelé.
Ainsi, souligne M. Baraka, il est temps de rompre avec les politiques ayant entraîné la baisse de la croissance économique, la recrudescence des taux de chômage et l’approfondissement du fossé entre les plus riches et les plus pauvres, et ce, en vue de construire ensemble un nouveau modèle de développement où justice et équité sont les maîtres mots.
Safaa Ksaani