En réponse à des questions orales, lors de la séance hebdomadaire, à la Chambre des représentants, Mohammed Sadiki a déclaré que les bassins hydrauliques ont enregistré des déficits avec des proportions variables, ajoutant que « le manque de pluie a eu un impact significatif sur l'activité agricole et la couverture végétale ».
Le ministre a souligné que la pluviométrie moyenne à ce jour n'a pas dépassé 48,6 mm, ce qui se traduit par « un déficit de 61% par rapport à une année normale et de 41% par rapport à l'année précédente ».
Dans le détail, le taux de remplissage des barrages destinés à des fins agricoles ne dépasse pas 32%, notant que « si l'on exclut la plaine du Gharb et le bassin hydraulique du Loukkos, le taux de remplissage ne dépasse pas 12% ».
Cette situation hydraulique inquiétante est confirmée par les données de l’Agence du bassin hydraulique de Bouregreg et de la Chaouia (ABHBC), selon laquelle, les retenues des barrages, dont la capacité totale atteint 1.107.524 milliard m3, se sont établies, jusqu’à ce jour, à 492,99 millions m3, contre 574,251 millions m3 durant la même période de l’année précédente.
Le ministre a souligné que la pluviométrie moyenne à ce jour n'a pas dépassé 48,6 mm, ce qui se traduit par « un déficit de 61% par rapport à une année normale et de 41% par rapport à l'année précédente ».
Dans le détail, le taux de remplissage des barrages destinés à des fins agricoles ne dépasse pas 32%, notant que « si l'on exclut la plaine du Gharb et le bassin hydraulique du Loukkos, le taux de remplissage ne dépasse pas 12% ».
Cette situation hydraulique inquiétante est confirmée par les données de l’Agence du bassin hydraulique de Bouregreg et de la Chaouia (ABHBC), selon laquelle, les retenues des barrages, dont la capacité totale atteint 1.107.524 milliard m3, se sont établies, jusqu’à ce jour, à 492,99 millions m3, contre 574,251 millions m3 durant la même période de l’année précédente.