Vendredi, la Crown Court de Teesside a prononcé, selon les infos relayées par les médias britanniques, une peine de réclusion à perpétuité contre Ahmed Alid, un demandeur d'asile marocain, pour le meurtre de Terence Carney, un retraité britannique de 70 ans. Alid, rappelle les mêmes sources, a attaqué la victime à Hartlepool, dans le nord-est de l'Angleterre, le 15 octobre, huit jours après le début de la guerre à Gaza.
Selon les procureurs, la personne condamnée a d'abord attaqué son colocataire, Javed Nouri, un demandeur d'asile iranien, avec un couteau pendant son sommeil, sans le tuer. Il s'est ensuite enfui et a croisé Terence Carney lors de sa promenade matinale, c'est alors qu'il l'a poignardé six fois.
Selon les propos qu'il tenus lors de son interrogatoire, tels que relayés par la presse britannique, Alid a justifié son acte en déclarant à la police : « Israël a tué des enfants innocents et j'ai tué un vieil homme. » Il a également affirmé que, s'il avait eu plus d'armes, il aurait tué davantage de personnes. Bien qu'il ait reconnu les faits, Alid a nié avoir eu l'intention de tuer ou de causer de graves blessures.
Le jury a reconnu Alid coupable de meurtre, de tentative de meurtre et de deux chefs d'accusation d'agression sur des policiers lors de son arrestation. Le juge l'a condamnéà la réclusion à perpétuité, avec une période de sûreté de 45 ans avant toute possibilité de libération conditionnelle, soulignant l'absence de remords de l'accusé.
« Le meurtre de Terence Carney était un acte terroriste destiné à influencer le gouvernement britannique et à effrayer le peuple, sapant les libertés dont il jouit », a déclaré le juge Cheema-Grubb.
Patricia Carney, l'épouse de la victime, a exprimé dans une déclaration l'impact dévastateur de cette tragédie, expliquant qu'elle ne pouvait plus se rendre en ville à cause de la douleur d'être près du lieu du meurtre. Javed Nouri, de son côté, a indiqué que l'attaque avait détruit son sentiment de sécurité. « Je m'attendais à être attaqué dans mon pays d'origine pour m'être converti au christianisme, mais pas ici », a-t-il déclaré.
Ahmed Alid, arrivé en Europe en 2007, avait précédemment résidé en Espagne, en France, en Italie, en Allemagne, dans les pays scandinaves, aux Pays-Bas et en Autriche avant de rejoindre le Royaume-Uni par ferry en 2020. Arrêté par la police pour absence de papiers d'identité, il avait ensuite demandé l'asile.
Selon les procureurs, la personne condamnée a d'abord attaqué son colocataire, Javed Nouri, un demandeur d'asile iranien, avec un couteau pendant son sommeil, sans le tuer. Il s'est ensuite enfui et a croisé Terence Carney lors de sa promenade matinale, c'est alors qu'il l'a poignardé six fois.
Selon les propos qu'il tenus lors de son interrogatoire, tels que relayés par la presse britannique, Alid a justifié son acte en déclarant à la police : « Israël a tué des enfants innocents et j'ai tué un vieil homme. » Il a également affirmé que, s'il avait eu plus d'armes, il aurait tué davantage de personnes. Bien qu'il ait reconnu les faits, Alid a nié avoir eu l'intention de tuer ou de causer de graves blessures.
Le jury a reconnu Alid coupable de meurtre, de tentative de meurtre et de deux chefs d'accusation d'agression sur des policiers lors de son arrestation. Le juge l'a condamnéà la réclusion à perpétuité, avec une période de sûreté de 45 ans avant toute possibilité de libération conditionnelle, soulignant l'absence de remords de l'accusé.
« Le meurtre de Terence Carney était un acte terroriste destiné à influencer le gouvernement britannique et à effrayer le peuple, sapant les libertés dont il jouit », a déclaré le juge Cheema-Grubb.
Patricia Carney, l'épouse de la victime, a exprimé dans une déclaration l'impact dévastateur de cette tragédie, expliquant qu'elle ne pouvait plus se rendre en ville à cause de la douleur d'être près du lieu du meurtre. Javed Nouri, de son côté, a indiqué que l'attaque avait détruit son sentiment de sécurité. « Je m'attendais à être attaqué dans mon pays d'origine pour m'être converti au christianisme, mais pas ici », a-t-il déclaré.
Ahmed Alid, arrivé en Europe en 2007, avait précédemment résidé en Espagne, en France, en Italie, en Allemagne, dans les pays scandinaves, aux Pays-Bas et en Autriche avant de rejoindre le Royaume-Uni par ferry en 2020. Arrêté par la police pour absence de papiers d'identité, il avait ensuite demandé l'asile.