Le ministère algérien des affaires étrangères a indiqué dans un communiqué concis que suite aux déclarations des plus hautes autorités espagnoles qui constituent un «brusque revirement» de position concernant le dossier du Sahara, il a été décidé de rappeler son ambassadeur à Madrid pour consultations.
Le régime algérien a ajouté qu’il a été très «étonné» par les déclarations du chef du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez et ses ministres, ajoutant que leurs positions fût une «surprise» pour Alger. En effet, ce nouveau positionnement du voisin ibérique devrait avoir l’effet d’une douche froide pour le régime des généraux qui a vu ses plans hostiles à l’égard du Royaume faire pschitt, malgré son intense campagne anti-Maroc menée depuis plusieurs mois visant à induire en erreur la communauté internationale.
Suivant le pas de plusieurs Etats, notamment l’Allemagne, le gouvernement espagnol a décidé d’appuyer l’Initiative marocaine d’autonomie au Sahara, proposée en 2007, ce qui pourrait contribuer à trouver une solution à ce différend artificiel.
Par ailleurs, cette décision procède d’un choix stratégique tourné vers un partenariat Madrid-Rabat pragmatique et respectueux des principes de l’intégrité territoriale et de la souveraineté, conformément au Discours Royal du 20 août dans lequel il avait appelé à « inaugurer une étape inédite dans les relations entre Nos deux pays, fondée sur la confiance, la transparence, la considération mutuelle et le respect des engagements ».
Dans la continuité de cette dynamique, le ministre espagnol des Affaires Etrangères, de l’Union Européenne et de la Coopération, José Manuel Albares, prévoit une visite au Maroc durant le mois courant. Une visite du Président du Gouvernement espagnol sera, également, programmée ultérieurement, selon la diplomatie marocaine.
Le régime algérien a ajouté qu’il a été très «étonné» par les déclarations du chef du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez et ses ministres, ajoutant que leurs positions fût une «surprise» pour Alger. En effet, ce nouveau positionnement du voisin ibérique devrait avoir l’effet d’une douche froide pour le régime des généraux qui a vu ses plans hostiles à l’égard du Royaume faire pschitt, malgré son intense campagne anti-Maroc menée depuis plusieurs mois visant à induire en erreur la communauté internationale.
Suivant le pas de plusieurs Etats, notamment l’Allemagne, le gouvernement espagnol a décidé d’appuyer l’Initiative marocaine d’autonomie au Sahara, proposée en 2007, ce qui pourrait contribuer à trouver une solution à ce différend artificiel.
Par ailleurs, cette décision procède d’un choix stratégique tourné vers un partenariat Madrid-Rabat pragmatique et respectueux des principes de l’intégrité territoriale et de la souveraineté, conformément au Discours Royal du 20 août dans lequel il avait appelé à « inaugurer une étape inédite dans les relations entre Nos deux pays, fondée sur la confiance, la transparence, la considération mutuelle et le respect des engagements ».
Dans la continuité de cette dynamique, le ministre espagnol des Affaires Etrangères, de l’Union Européenne et de la Coopération, José Manuel Albares, prévoit une visite au Maroc durant le mois courant. Une visite du Président du Gouvernement espagnol sera, également, programmée ultérieurement, selon la diplomatie marocaine.