En effet, l’Afrique du Sud a élaboré, unilatéralement et au nom de la SADC, une déclaration sur la décolonisation en Afrique qui contenait un paragraphe portant préjudice à l’intégrité territoriale du Maroc, écrit le portail, notant que cette déclaration devait être présentée lors du débat général par le Représentant Permanent du Mozambique.
Dès l’inscription de cette déclaration à l’ordre du jour des travaux de la 4ème Commission, poursuit la même source, plusieurs États membres de la SADC, notamment la République Démocratique du Congo (RDC), les Comores, le Malawi, l’Eswatini et la Zambie, ont exprimé leur refus quant à son contenu fallacieux.
Face à la forte opposition des pays membres de la SADC, le Représentant Permanent du Mozambique a renoncé à faire sa déclaration devant la 4ème Commission et la SADC s’est retirée de la liste des orateurs enregistrés pour prendre la parole, ajoute le portail, soulignant que cet incident démontre clairement la division au sein de la SADC concernant la question du Sahara marocain.
(Avec MAP)
Dès l’inscription de cette déclaration à l’ordre du jour des travaux de la 4ème Commission, poursuit la même source, plusieurs États membres de la SADC, notamment la République Démocratique du Congo (RDC), les Comores, le Malawi, l’Eswatini et la Zambie, ont exprimé leur refus quant à son contenu fallacieux.
Face à la forte opposition des pays membres de la SADC, le Représentant Permanent du Mozambique a renoncé à faire sa déclaration devant la 4ème Commission et la SADC s’est retirée de la liste des orateurs enregistrés pour prendre la parole, ajoute le portail, soulignant que cet incident démontre clairement la division au sein de la SADC concernant la question du Sahara marocain.
(Avec MAP)