Face à une foule de partisans, le prédisent algérien, Abdelmajid Tebboune s'est permis une nouvelle fois des déclarations hallucinantes. Lors d'une discours à Béchar, il a prétendu sans sourciller que l'Espagne s'est rétractée en retirant son soutien au plan d'autonomie pour le Sahara suite à la pression algérienne.
"L'Espagne a commis une erreur avant de se raviser, ils ne sont jamais attendus à ce l'Algérie les contraint économiquement à revoir leur position", a-t-il lâché, affirmant que l'Espagne aurait perdu 7 milliards de dollars chaque année suite aux sanctions économiques que l'Algérie avait appliquée contre les exportations espagnoles. Allusion faite au blocus commercial qui s'est révélé finalement un échec cuisant.
Le président algérien a fait semblant d'ignorer les récentes déclarations du ministre espagnol des Affaires étrangères, José Manuel Albares. En marge de sa dernière rencontre avec son homologue marocain, Nasser Bourita, il a indiqué, le 17 avril, qu'il a réaffirmé sans équivoque le soutien de Madrid au plan d'autonomie comme la solution la plus crédible pour résoudre le conflit.
Cette déclaration présidentielle montre à quel point le régime algérien continue son déni de réalité au moment où le conflit du Sahara s'achemine vers une résolution définitive dans un sens favorable au Maroc. Près de 110 pays soutiennent désormais le plan d'autonomie que l'ONU considère désormais la base de négociation tel que l'a fait savoir l'émissaire onusien, Staffan de Mistura, lors de la dernière réunion à huis clos du Conseil de Sécurité.
Rappelons que l'Algérie a dû normaliser ses relations avec Madrid après le blocus commercial.
"L'Espagne a commis une erreur avant de se raviser, ils ne sont jamais attendus à ce l'Algérie les contraint économiquement à revoir leur position", a-t-il lâché, affirmant que l'Espagne aurait perdu 7 milliards de dollars chaque année suite aux sanctions économiques que l'Algérie avait appliquée contre les exportations espagnoles. Allusion faite au blocus commercial qui s'est révélé finalement un échec cuisant.
Le président algérien a fait semblant d'ignorer les récentes déclarations du ministre espagnol des Affaires étrangères, José Manuel Albares. En marge de sa dernière rencontre avec son homologue marocain, Nasser Bourita, il a indiqué, le 17 avril, qu'il a réaffirmé sans équivoque le soutien de Madrid au plan d'autonomie comme la solution la plus crédible pour résoudre le conflit.
Cette déclaration présidentielle montre à quel point le régime algérien continue son déni de réalité au moment où le conflit du Sahara s'achemine vers une résolution définitive dans un sens favorable au Maroc. Près de 110 pays soutiennent désormais le plan d'autonomie que l'ONU considère désormais la base de négociation tel que l'a fait savoir l'émissaire onusien, Staffan de Mistura, lors de la dernière réunion à huis clos du Conseil de Sécurité.
Rappelons que l'Algérie a dû normaliser ses relations avec Madrid après le blocus commercial.