« Le déclin du totalitarisme », tel est le titre du nouveau livre de l’écrivain espagnol José Maria Lizundia, qui s’attaque à la thèse séparatiste et aux fausses interprétations de l’histoire du Sahara, tout en livrant des informations inédites sur le conflit artificiel. Accueilli par la Chambre des Conseillers, lors d’une cérémonie d’hommage, tenue le 9 novembre, l’écrivain et avocat espagnol a démoli et l’imposture du polisario et le mythe de sa représentation du prétendu « peuple Saharaoui ». Selon le livre, qui est paru en version arabe, le front séparatiste n’existait pas avant 1973 et ne faisant l’objet d’aucune mention dans la communauté internationale. José Maria Lizundia, estime que la thèse séparatiste s’est construite sur des arguments historiques biaisés, tout en augurant une chute du polisario vu sa décadence et la fin des raisons qui justifie sa présence. L’entité fantoche n’est qu’une idée subversive, émanant d’un marxisme révolutionnaire instrumentalisé par le bloc soviétique, pendant la guerre froide et ce en complicité avec l’Algérie, pour des raisons idéologiques et politiques.
Changer le regard partial de l’élite médiatique espagnole
Le livre de josé Maria Lizundia rompt radicalement avec la perception de l’affaire du Sahara marocain par l’élite politico-médiatique espagnole, qui tend, selon l’écrivain, à remettre en cause le caractère spontané de la marche verte et y voit une manipulation du pouvoir. Le journaliste espagnol estime, contrairement aux idées reçues, que cette marche historique n’est qu’une manifestation de l’adhésion populaire à l’appel d’un Roi qui voulait récupérer un territoire spolié par la violence coloniale. En effet, il s’agit de l’achèvement du processus de décolonisation du territoire marocain et ainsi de l’intégrité territoriale du Royaume.
Ce qui prouve que la marche verte ne fut jamais une manipulation est que 350.000 participants n’ont pas eu de motivations financières ni de convoitise pour les, terres puisqu’ils furent conscients qu’il s’agissait d’une mission patriotique et qu’ils allaient rebrousser chemin dès la récupération du territoire. En expliquant les conclusions de son ouvrage, devant les yeux attentifs des membres de la deuxième chambre, l’auteur souligne que la marche verte a mis fin aux convoitises des séparatistes et leurs parrains étrangers.
L’amertume des militaires espagnols
L’ouvrage évoque, de surcroît, le rôle de l’Espagne dans le conflit du Sahara, si le voisin ibérique demeure source de contrariété pour le Maroc dans cette affaire, c’est à cause de l’amertume éprouvée par une partie de la caste militaire franquiste et son ascendance, qui n’ont jamais accepté l’idée de céder le Sahara. En effet, depuis 1975, l’affaire du Sahara était traitée d’un prisme politique par l’élite médiatique et intellectuelle espagnole, selon les explications de José Maria Lizundia a confié que plusieurs anciens militaires espagnols se sont convertis à la résistance intellectuelle, en publiant des articles et des ouvrages relayant une vision partiale de l’histoire du sahara marocain. « Près de 86% des ouvrages et des articles académiques qui traitent de l’affaire du sahara en Espagne appartiennent à d’anciens militaires », a-t-il indiqué.
Cet événement littéraire a été l’occasion d’illuminer le public marocain et surtout la classe politique sur les dessous de la genèse de la thèse séparatiste. Cette rencontre a été présidée par le président de la Chambre des Conseillers Naam Miyara, et a connu la présidence de plusieurs personnalités émminentes telles que le Haut-commissaire aux Anciens Résistants et Anciens Membres de l'Armée de Libération. « C’est une occasion de présenter une vision qui réfute la thèse séparatiste de la part d’un écrivain qui a été témoin de la fin de la colonisation espagnole du Sahara marocain », a indiqué le président de la deuxième chambre dans une déclaration à la presse.
Rappelons que le dossier du Sahara se dirige progressivement vers une issue favorable au Maroc, la récente résolution du Conseil de sécurité a reconnu la crédibilité du plan d’autonomie tout en reconnaissant, au même temps, la responsabilité de l’Algérie dans le conflit artificiel qui dure depuis 1975. Toute négociation ne peut avoir pour objet la marocanité du Sahara, comme a fait clairement savoir le discours royal. Le Royaume demeure par contre, ouvert au processus des tables rondes que le nouvel émissaire onusien Staffan de mistura veut relancer.
Changer le regard partial de l’élite médiatique espagnole
Le livre de josé Maria Lizundia rompt radicalement avec la perception de l’affaire du Sahara marocain par l’élite politico-médiatique espagnole, qui tend, selon l’écrivain, à remettre en cause le caractère spontané de la marche verte et y voit une manipulation du pouvoir. Le journaliste espagnol estime, contrairement aux idées reçues, que cette marche historique n’est qu’une manifestation de l’adhésion populaire à l’appel d’un Roi qui voulait récupérer un territoire spolié par la violence coloniale. En effet, il s’agit de l’achèvement du processus de décolonisation du territoire marocain et ainsi de l’intégrité territoriale du Royaume.
Ce qui prouve que la marche verte ne fut jamais une manipulation est que 350.000 participants n’ont pas eu de motivations financières ni de convoitise pour les, terres puisqu’ils furent conscients qu’il s’agissait d’une mission patriotique et qu’ils allaient rebrousser chemin dès la récupération du territoire. En expliquant les conclusions de son ouvrage, devant les yeux attentifs des membres de la deuxième chambre, l’auteur souligne que la marche verte a mis fin aux convoitises des séparatistes et leurs parrains étrangers.
L’amertume des militaires espagnols
L’ouvrage évoque, de surcroît, le rôle de l’Espagne dans le conflit du Sahara, si le voisin ibérique demeure source de contrariété pour le Maroc dans cette affaire, c’est à cause de l’amertume éprouvée par une partie de la caste militaire franquiste et son ascendance, qui n’ont jamais accepté l’idée de céder le Sahara. En effet, depuis 1975, l’affaire du Sahara était traitée d’un prisme politique par l’élite médiatique et intellectuelle espagnole, selon les explications de José Maria Lizundia a confié que plusieurs anciens militaires espagnols se sont convertis à la résistance intellectuelle, en publiant des articles et des ouvrages relayant une vision partiale de l’histoire du sahara marocain. « Près de 86% des ouvrages et des articles académiques qui traitent de l’affaire du sahara en Espagne appartiennent à d’anciens militaires », a-t-il indiqué.
Cet événement littéraire a été l’occasion d’illuminer le public marocain et surtout la classe politique sur les dessous de la genèse de la thèse séparatiste. Cette rencontre a été présidée par le président de la Chambre des Conseillers Naam Miyara, et a connu la présidence de plusieurs personnalités émminentes telles que le Haut-commissaire aux Anciens Résistants et Anciens Membres de l'Armée de Libération. « C’est une occasion de présenter une vision qui réfute la thèse séparatiste de la part d’un écrivain qui a été témoin de la fin de la colonisation espagnole du Sahara marocain », a indiqué le président de la deuxième chambre dans une déclaration à la presse.
Rappelons que le dossier du Sahara se dirige progressivement vers une issue favorable au Maroc, la récente résolution du Conseil de sécurité a reconnu la crédibilité du plan d’autonomie tout en reconnaissant, au même temps, la responsabilité de l’Algérie dans le conflit artificiel qui dure depuis 1975. Toute négociation ne peut avoir pour objet la marocanité du Sahara, comme a fait clairement savoir le discours royal. Le Royaume demeure par contre, ouvert au processus des tables rondes que le nouvel émissaire onusien Staffan de mistura veut relancer.