
Connu pour être un soutien patenté du Polisario, le député du Parti communiste, Jean-Paul Lecoq, s'en est pris à la présidence de la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale en lui reprochant d'avoir adopté la carte entière du Maroc.
"Je voudrai m'insurger parce que la carte derrière vous a été changée, il y a u mois, il y avait la care de l'ONU et la carte qui a été mise là est conforme au désir du président de la République", a-t-il fait remarquer, lors d'une séance en commission.
"On oublie qu'en juillet dernier, le président de la République a décidé de donner le Sahara aux Marocains sans l'avis de qui que ce soit dans notre pays et c'est à ce moment là que les choses sont devenues difficiles avec l'Algérie qui a rappelé son ambassadeur", a prétendu le député, faisant fi de l'arrestation de l'écrivain Boualem Sansal qui , à ses yeux, ne serait pas à l'origine de la crise diplomatique franco-algérienne.
Le député en question traduit la position des communistes français connues pour leur hostilité historique au Maroc. Le Secrétaire national du PCF, Fabien Roussel, avait critiqué le soutien d'Emmanuel Macron à la marocanité du Sahara.
L'acharnement de l'extrême gauche française ne pèse pas dans la balance de la politique étrangère française qui demeure du ressort exclusif du Locataire de l'Elysée.
Rappelons que la carte entière du Maroc est adoptée officiellement par toutes les institutions françaises, dont le ministère des Affaires étrangères depuis le 29 octobre, à la veille de la visite du président français au Maroc.
"Je voudrai m'insurger parce que la carte derrière vous a été changée, il y a u mois, il y avait la care de l'ONU et la carte qui a été mise là est conforme au désir du président de la République", a-t-il fait remarquer, lors d'une séance en commission.
"On oublie qu'en juillet dernier, le président de la République a décidé de donner le Sahara aux Marocains sans l'avis de qui que ce soit dans notre pays et c'est à ce moment là que les choses sont devenues difficiles avec l'Algérie qui a rappelé son ambassadeur", a prétendu le député, faisant fi de l'arrestation de l'écrivain Boualem Sansal qui , à ses yeux, ne serait pas à l'origine de la crise diplomatique franco-algérienne.
Le député en question traduit la position des communistes français connues pour leur hostilité historique au Maroc. Le Secrétaire national du PCF, Fabien Roussel, avait critiqué le soutien d'Emmanuel Macron à la marocanité du Sahara.
L'acharnement de l'extrême gauche française ne pèse pas dans la balance de la politique étrangère française qui demeure du ressort exclusif du Locataire de l'Elysée.
Rappelons que la carte entière du Maroc est adoptée officiellement par toutes les institutions françaises, dont le ministère des Affaires étrangères depuis le 29 octobre, à la veille de la visite du président français au Maroc.