Les statistiques du marché du travail à Sebta ont révélé une augmentation significative du chômage. Ainsi, des centaines de personnes ont perdu leur emploi et leurs moyens de substances, et ce, s’explique par la fermeture du poste-frontalier Tarajal II donnant accès à la ville de Sebta.
Selon des médias locaux, les Marocains qui y travaillent légalement sont les plus impactés par la fermeture de Bab Sebta, qui dure huit mois consécutifs. Ces derniers sont salariés sous contrat, paient leurs impôts, cotisent mensuellement à la Sécurité sociale espagnole et, pourtant, ne profitent pas de leurs droits prévus par la loi.
«2917 contractuels, dont la majorité des femmes, ont perdu leur emploi, sans pouvoir atteindre leur lieu de travail», selon les mêmes sources, précisant que «Les femmes travaillant à domicile, dans le secteur du nettoyage, dans les cafés, les magasins ou les administrations sont les plus fortement impactées par la fermeture des frontières, imposée par la situation épidémiologique».
Le sort de ces travailleurs demeure, jusqu’à aujourd’hui, ambigu. Ils sont, désormais, privés de leur moindre droit élémentaire. Vont-ils retourner au travail après la fin de la pandémie ? ou ont-ils perdu à jamais leur source de revenu ? Plusieurs questions demeurent sans réponses à ce sujet…
Nombre d'entre eux sollicitent encore le gouvernement pour leur trouver, en urgence, une issue, vu la situation difficile qu’ils traversent. In fine, parmi leurs demandes figure celle de l’ouverture exceptionnelle dudit passage, afin qu’ils puissent retrouver leurs emplois et pouvoir gagner leur vie de manière décente.
Selon des médias locaux, les Marocains qui y travaillent légalement sont les plus impactés par la fermeture de Bab Sebta, qui dure huit mois consécutifs. Ces derniers sont salariés sous contrat, paient leurs impôts, cotisent mensuellement à la Sécurité sociale espagnole et, pourtant, ne profitent pas de leurs droits prévus par la loi.
«2917 contractuels, dont la majorité des femmes, ont perdu leur emploi, sans pouvoir atteindre leur lieu de travail», selon les mêmes sources, précisant que «Les femmes travaillant à domicile, dans le secteur du nettoyage, dans les cafés, les magasins ou les administrations sont les plus fortement impactées par la fermeture des frontières, imposée par la situation épidémiologique».
Le sort de ces travailleurs demeure, jusqu’à aujourd’hui, ambigu. Ils sont, désormais, privés de leur moindre droit élémentaire. Vont-ils retourner au travail après la fin de la pandémie ? ou ont-ils perdu à jamais leur source de revenu ? Plusieurs questions demeurent sans réponses à ce sujet…
Nombre d'entre eux sollicitent encore le gouvernement pour leur trouver, en urgence, une issue, vu la situation difficile qu’ils traversent. In fine, parmi leurs demandes figure celle de l’ouverture exceptionnelle dudit passage, afin qu’ils puissent retrouver leurs emplois et pouvoir gagner leur vie de manière décente.