Les coopératives représentent la source de revenu d’un nombre important de marocains et constituent un moyen de lutte contre le secteur informel. Néanmoins, celles-ci imposent un large soutien de l’Etat pour contrer la baisse significative de l’activité économique, en particulier dans le monde rural. Nadia Fettah Alaoui, ministre du Tourisme, de l'artisanat, du transport aérien et de l'économie sociale, a indiqué jeudi, en Conseil de gouvernement qu’il existe du plus de 600.000 personnes œuvrant dans près de 34.000 coopératives au Maroc.
Elle a également évoqué, les progrès accomplis et le développement tangible qu'a connu ce secteur au cours des deux dernières décennies, grâce à l'implication d'une catégorie importante de citoyens dans les coopératives, en particulier les jeunes et les femmes dans le monde rural. D’autre part, la ministre a exposé quelques initiatives innovantes adoptées par son département au profit des coopératives afin d’atténuer les effets négatifs dus à la pandémie de la Covid-19.
Après avoir établi un diagnostic approfondi du secteur des coopératives et des défis majeurs auxquels le Maroc est confronté, la ministre a exposé les grandes lignes des perspectives de développement du secteur ainsi que des progrès accomplis à travers la promotion de la création de coopératives de nouvelle génération, qui est un atout fondamental. Elle a également mis en avant l’importance de la diffusion de l’esprit entrepreneuriale et le renforcement du positionnement des coopératives marocaines sur le continent africain et à l'international, compte tenu de leur rôle de premier plan dans la création d'emplois, la lutte contre la vulnérabilité, l'organisation du secteur informel, le renforcement de l'autonomisation économique des femmes et le développement communautaire.
Rappelons que la période de confinement a beaucoup impacté les coopératives, notamment celles opérant dans l’agriculture, surtout suite à l’annulation de plusieurs événements comme le Salon de l’Agriculture (SIAM). Ce dernier qui était prévu initialement pour avril, devrait coûter au segment des coopératives et des groupes économiques plus de 12 M MAD de biens avec un risque de perte de chiffre d’affaires compris entre 60% et 80%, selon une étude de la Délégation de l’Union européenne au Maroc.
Elle a également évoqué, les progrès accomplis et le développement tangible qu'a connu ce secteur au cours des deux dernières décennies, grâce à l'implication d'une catégorie importante de citoyens dans les coopératives, en particulier les jeunes et les femmes dans le monde rural. D’autre part, la ministre a exposé quelques initiatives innovantes adoptées par son département au profit des coopératives afin d’atténuer les effets négatifs dus à la pandémie de la Covid-19.
Après avoir établi un diagnostic approfondi du secteur des coopératives et des défis majeurs auxquels le Maroc est confronté, la ministre a exposé les grandes lignes des perspectives de développement du secteur ainsi que des progrès accomplis à travers la promotion de la création de coopératives de nouvelle génération, qui est un atout fondamental. Elle a également mis en avant l’importance de la diffusion de l’esprit entrepreneuriale et le renforcement du positionnement des coopératives marocaines sur le continent africain et à l'international, compte tenu de leur rôle de premier plan dans la création d'emplois, la lutte contre la vulnérabilité, l'organisation du secteur informel, le renforcement de l'autonomisation économique des femmes et le développement communautaire.
Rappelons que la période de confinement a beaucoup impacté les coopératives, notamment celles opérant dans l’agriculture, surtout suite à l’annulation de plusieurs événements comme le Salon de l’Agriculture (SIAM). Ce dernier qui était prévu initialement pour avril, devrait coûter au segment des coopératives et des groupes économiques plus de 12 M MAD de biens avec un risque de perte de chiffre d’affaires compris entre 60% et 80%, selon une étude de la Délégation de l’Union européenne au Maroc.