Le coup d’envoi de la caravane sociale pour lutter contre le mariage des filles mineures a été donné, lundi à Sefrou, à l’initiative de l'Association Joubair pour le Développement rural et environnemental, en partenariat avec le parquet au Tribunal de Première instance de la ville.
La caravane, organisée en coopération avec la Direction provinciale du ministère de l’Éducation nationale, et des associations de la société civile, vise à sensibiliser aux risques du mariage des filles mineures et à réduire ce phénomène comme un vecteur pour faire face à la déperdition scolaire.
Placée sous le slogan "Non au mariage des mineures. Oui pour consacrer leurs droits", cette caravane se propose de jeter la lumière sur ce phénomène qui fait sortir les filles de leur milieu naturel, qui est l'école, à travers des activités de sensibilisation, des séminaires et des représentations théâtrales.
A cette occasion, une rencontre sur le mariage des mineures a été organisée au profit des élèves de l'école de la Deuxième Chance, Nouvelle Génération "Imam Ali", au cours de laquelle il a été souligné que ce phénomène "transgresse les droits des filles et les prive de l’éducation, de la formation et de la protection familiale".
Dans le même contexte, les participants ont examiné les raisons les plus importantes qui alimentent le phénomène du mariage des mineures, notamment l'héritage culturel, les traditions, les coutumes, la vulnérabilité et la pauvreté, ajoutant que ce type de mariage "les rend vulnérables à la violence et au divorce parce qu'elles assument des responsabilités qui sont au-delà de leurs capacités".
Le président de l’Association Joudair pour le développement rural et environnemental, Mostafa Toudi, a expliqué à cette occasion que cette caravane vise à réduire le phénomène du mariage des mineures comme point d'entrée essentiel pour réduire le phénomène de la déperdition scolaire. Il a ajouté que la province a, tout au long de l'année, organisé plusieurs activités et campagnes de vulgarisation dans les zones urbaines et rurales pour sensibiliser à la nécessité de permettre aux enfants de leur droit à l'école et de jouir pleinement de leurs droits jusqu'à ce qu'ils atteignent l’âge de la majorité.
La caravane, organisée en coopération avec la Direction provinciale du ministère de l’Éducation nationale, et des associations de la société civile, vise à sensibiliser aux risques du mariage des filles mineures et à réduire ce phénomène comme un vecteur pour faire face à la déperdition scolaire.
Placée sous le slogan "Non au mariage des mineures. Oui pour consacrer leurs droits", cette caravane se propose de jeter la lumière sur ce phénomène qui fait sortir les filles de leur milieu naturel, qui est l'école, à travers des activités de sensibilisation, des séminaires et des représentations théâtrales.
A cette occasion, une rencontre sur le mariage des mineures a été organisée au profit des élèves de l'école de la Deuxième Chance, Nouvelle Génération "Imam Ali", au cours de laquelle il a été souligné que ce phénomène "transgresse les droits des filles et les prive de l’éducation, de la formation et de la protection familiale".
Dans le même contexte, les participants ont examiné les raisons les plus importantes qui alimentent le phénomène du mariage des mineures, notamment l'héritage culturel, les traditions, les coutumes, la vulnérabilité et la pauvreté, ajoutant que ce type de mariage "les rend vulnérables à la violence et au divorce parce qu'elles assument des responsabilités qui sont au-delà de leurs capacités".
Le président de l’Association Joudair pour le développement rural et environnemental, Mostafa Toudi, a expliqué à cette occasion que cette caravane vise à réduire le phénomène du mariage des mineures comme point d'entrée essentiel pour réduire le phénomène de la déperdition scolaire. Il a ajouté que la province a, tout au long de l'année, organisé plusieurs activités et campagnes de vulgarisation dans les zones urbaines et rurales pour sensibiliser à la nécessité de permettre aux enfants de leur droit à l'école et de jouir pleinement de leurs droits jusqu'à ce qu'ils atteignent l’âge de la majorité.