La reporter couvrait des affrontements dans le secteur de Jénine, en Cisjordanie, lorsqu’elle a été touchée par un tir dont l'origine serait d'origine israélienne, selon l'AFP ainsi que des sources palestiniennes dont le ministère de la santé palestinien.
Selon le ministère palestinien de la Santé, la journaliste, a été victime de tirs au niveau de la tête, alors qu’elle couvrait l’intrusion des forces d’occupation dans le camp de Jénine. D'après des témoins oculaires cités par al-Jazeera, les forces d’occupation ont tiré à balles réelles en direction des manifestants et des journalistes.
Un autre journaliste, Ali Al-Samoudi, blessé lors de ces affrontements, a accusé l’armée israélienne d’avoir ouvert le feu sur les journalistes. « Nous étions en chemin pour couvrir l’opération de l’armée lorsqu’ils ont ouvert le feu sur nous. (…) Une balle m’a atteint. La seconde balle a touché Shireen », a-t-il déclaré à sa sortie de l’hôpital.
Tuée de sang froid
Dans un communiqué, Al-Jazira a affirmé que Shireen Abu Akleh a été tuée de « sang-froid » par les forces israéliennes. « Al-Jazira condamne ce crime odieux, qui a pour objectif d’empêcher les médias de faire leur travail », a déclaré la chaîne qatarie, appelant la communauté internationale à « tenir pour responsables les forces d’occupation israéliennes pour avoir intentionnellement ciblé et tué Shireen », qui a reçu une balle « au visage », selon les autorités qataries.
Palestinienne et âgée d’une cinquantaine d’années, Shireen Abu Akleh avait travaillé à La Voix de la Palestine, Radio Monte-Carlo, avant de rejoindre la chaîne Al-Jazira, où elle s’est fait connaître à travers le Moyen-Orient pour ses reportages sur le conflit israélo-palestinien.
Selon le ministère palestinien de la Santé, la journaliste, a été victime de tirs au niveau de la tête, alors qu’elle couvrait l’intrusion des forces d’occupation dans le camp de Jénine. D'après des témoins oculaires cités par al-Jazeera, les forces d’occupation ont tiré à balles réelles en direction des manifestants et des journalistes.
Un autre journaliste, Ali Al-Samoudi, blessé lors de ces affrontements, a accusé l’armée israélienne d’avoir ouvert le feu sur les journalistes. « Nous étions en chemin pour couvrir l’opération de l’armée lorsqu’ils ont ouvert le feu sur nous. (…) Une balle m’a atteint. La seconde balle a touché Shireen », a-t-il déclaré à sa sortie de l’hôpital.
Tuée de sang froid
Dans un communiqué, Al-Jazira a affirmé que Shireen Abu Akleh a été tuée de « sang-froid » par les forces israéliennes. « Al-Jazira condamne ce crime odieux, qui a pour objectif d’empêcher les médias de faire leur travail », a déclaré la chaîne qatarie, appelant la communauté internationale à « tenir pour responsables les forces d’occupation israéliennes pour avoir intentionnellement ciblé et tué Shireen », qui a reçu une balle « au visage », selon les autorités qataries.
Palestinienne et âgée d’une cinquantaine d’années, Shireen Abu Akleh avait travaillé à La Voix de la Palestine, Radio Monte-Carlo, avant de rejoindre la chaîne Al-Jazira, où elle s’est fait connaître à travers le Moyen-Orient pour ses reportages sur le conflit israélo-palestinien.