L’approche nouvelle adoptée en la matière, a été concluante, en tant que première expérience tentée au niveau de la province de Skhirat-Témara, ciblant 23.000 familles, dont 14.000 ont déjà bénéficié d’un relogement, a relevé la ministre. L’opération sera ensuite généralisée pour comprendre la ville de Casablanca qui abrite la plupart des bidonvilles recensés dans le Royaume, a-t-elle annoncée.
Elle a expliqué dans ce sens que le gouvernement a convenu durant les deux dernières années de cette nouvelle approche, basée sur l’intégration du secteur privé dans les opérations de relogement, en raison notamment de la rareté de l’assiette foncière.
Toutefois, plusieurs problématiques entravent les opérations menées dans le cadre de cette initiative, a-t-elle dit, citant à titre d'exemple le cas de familles "recomposées" qui prolifèrent à la faveur de l’opération de recensement, d'où la nécessité de les soumettre à des commissions locales qui se basent sur des normes précises et fiables afin de répondre au plus grand nombre de citoyens.
Quant au déficit de logements constaté dans certains centres ruraux, la ministre l’a attribué principalement au décalage entre l’offre et la demande dans ces régions. Elle a, dans ce sens, assuré que le ministère veille à répondre à cette problématique à travers l’accélération de la réalisation des documents d’urbanisme, avec la couverture de 84% des communes à caractère rural grâce à la réalisation de 42 documents en 2022 et 2023, outre la mise en œuvre des recommandations du dialogue en ce qui concerne la simplification des procédures.
Elle a expliqué dans ce sens que le gouvernement a convenu durant les deux dernières années de cette nouvelle approche, basée sur l’intégration du secteur privé dans les opérations de relogement, en raison notamment de la rareté de l’assiette foncière.
Toutefois, plusieurs problématiques entravent les opérations menées dans le cadre de cette initiative, a-t-elle dit, citant à titre d'exemple le cas de familles "recomposées" qui prolifèrent à la faveur de l’opération de recensement, d'où la nécessité de les soumettre à des commissions locales qui se basent sur des normes précises et fiables afin de répondre au plus grand nombre de citoyens.
Quant au déficit de logements constaté dans certains centres ruraux, la ministre l’a attribué principalement au décalage entre l’offre et la demande dans ces régions. Elle a, dans ce sens, assuré que le ministère veille à répondre à cette problématique à travers l’accélération de la réalisation des documents d’urbanisme, avec la couverture de 84% des communes à caractère rural grâce à la réalisation de 42 documents en 2022 et 2023, outre la mise en œuvre des recommandations du dialogue en ce qui concerne la simplification des procédures.