Cette rencontre a vu la participation de plusieurs experts et chercheurs dans le domaine de l'environnement et l’eau ainsi que de nombreux acteurs politiques, universitaires et civils.
La conférence s’est principalement focalisée sur les perspectives du système hydrique au Maroc, dans un contexte où l’impact du changement climatique s’intensifie dans toute la planète. Cette rencontre a pour objectif de développer une prise de conscience en vue de rationaliser les ressources hydriques, tout en encourageant la mise en œuvre des mesures envisagées pour préserver et protéger l'eau.
A cette occasion, le secrétaire général de la Chabiba ittihadia, Abdallah Sibari a mis en exergue l'importance de cette journée, qui a permis d'élaborer une réflexion, basée sur une politique publique capable de relever les défis la sécurité hydrique et économique au Maroc.
« Les défis hydriques au Royaume interpellent le secteur de l'investissement dans le domaine de l'eau, en vue de se doter d'un stock adéquat de cette substance, notant que le Maroc, malgré les efforts consentis pour fournir de l'eau potable à la population, est appelé à renforcer le raccordement individuel aux réseaux d'eau », a-t-il relevé.
Pour trouver des solutions afin de faire face à ce phénomène, Sibari prône l'activation de la stratégie nationale de l'eau, l'adoption d'une approche urgente, la promotion des investissements publics et finalement l'innovation et la recherche scientifique qui demeurent des pistes à franchir urgemment.
La rencontre a connu l'intervention du professeur de génie civil et des ressources en eau à l'Académie Hassan II des sciences et techniques, Idriss Ouzar, qui a mis en évidence les défis liés à la rareté de l'eau au Maroc, à l'instar de plusieurs pays du Sud, précisant que 85% des ressources en eau au Maroc, sont réservées au secteur agricole, compte tenu de son rôle primordial de la sécurité alimentaire du Royaume. D'autre part, il existe davantage de défis liés aux comportements individuels qui, selon lui, sont l'une des raisons du gaspillage de l'eau.
Le chercheur a rappelé que le Maroc dispose d'importantes capacités naturelles, qui lui permettent de surmonter la crise, notamment les deux façades maritimes, qui s'étendent sur plus de 3400 km, ajoutant que la rareté de l'eau affecte non seulement les humains, mais aussi la biodiversité et tout l’écosystème.
Le chercheur a, par ailleurs, évoqué l'importance de développer la recherche scientifique et à ouvrir la voie aux idées et propositions innovantes dans ce domaine.
La rencontre a été l'occasion de mettre l'accent sur plusieurs sujets, entre autres, les contraintes auxquelles est confronté le système hydrique au Maroc, la situation de l'eau entre défis et perspectives, l'état des ressources naturelles et la lutte contre le changement climatique dans le cadre du nouveau modèle de développement.
Créée à l'initiative de la Chabiba ittihadia en tant que structure partisane parallèle, Ittihadia Green Youth est une organisation dédiée à l’ouverture d’un débat public autour de toutes les questions se rapportant à l’environnement et au développement durable aux niveaux national et international.
La conférence s’est principalement focalisée sur les perspectives du système hydrique au Maroc, dans un contexte où l’impact du changement climatique s’intensifie dans toute la planète. Cette rencontre a pour objectif de développer une prise de conscience en vue de rationaliser les ressources hydriques, tout en encourageant la mise en œuvre des mesures envisagées pour préserver et protéger l'eau.
A cette occasion, le secrétaire général de la Chabiba ittihadia, Abdallah Sibari a mis en exergue l'importance de cette journée, qui a permis d'élaborer une réflexion, basée sur une politique publique capable de relever les défis la sécurité hydrique et économique au Maroc.
« Les défis hydriques au Royaume interpellent le secteur de l'investissement dans le domaine de l'eau, en vue de se doter d'un stock adéquat de cette substance, notant que le Maroc, malgré les efforts consentis pour fournir de l'eau potable à la population, est appelé à renforcer le raccordement individuel aux réseaux d'eau », a-t-il relevé.
Pour trouver des solutions afin de faire face à ce phénomène, Sibari prône l'activation de la stratégie nationale de l'eau, l'adoption d'une approche urgente, la promotion des investissements publics et finalement l'innovation et la recherche scientifique qui demeurent des pistes à franchir urgemment.
La rencontre a connu l'intervention du professeur de génie civil et des ressources en eau à l'Académie Hassan II des sciences et techniques, Idriss Ouzar, qui a mis en évidence les défis liés à la rareté de l'eau au Maroc, à l'instar de plusieurs pays du Sud, précisant que 85% des ressources en eau au Maroc, sont réservées au secteur agricole, compte tenu de son rôle primordial de la sécurité alimentaire du Royaume. D'autre part, il existe davantage de défis liés aux comportements individuels qui, selon lui, sont l'une des raisons du gaspillage de l'eau.
Le chercheur a rappelé que le Maroc dispose d'importantes capacités naturelles, qui lui permettent de surmonter la crise, notamment les deux façades maritimes, qui s'étendent sur plus de 3400 km, ajoutant que la rareté de l'eau affecte non seulement les humains, mais aussi la biodiversité et tout l’écosystème.
Le chercheur a, par ailleurs, évoqué l'importance de développer la recherche scientifique et à ouvrir la voie aux idées et propositions innovantes dans ce domaine.
La rencontre a été l'occasion de mettre l'accent sur plusieurs sujets, entre autres, les contraintes auxquelles est confronté le système hydrique au Maroc, la situation de l'eau entre défis et perspectives, l'état des ressources naturelles et la lutte contre le changement climatique dans le cadre du nouveau modèle de développement.
Créée à l'initiative de la Chabiba ittihadia en tant que structure partisane parallèle, Ittihadia Green Youth est une organisation dédiée à l’ouverture d’un débat public autour de toutes les questions se rapportant à l’environnement et au développement durable aux niveaux national et international.