Contacté par l’Opinion, M. Rayane nous a confirmé que, selon la note ministérielle n° 39.20, la rentrée scolaire sera assurée à la fois en présentiel et à distance, selon le choix de la formule pédagogique des parents.
Il poursuit en indiquant que les prochains jours à venir, jusqu’au 3 septembre, seront décisifs et permettront à chaque équipe pédagogique de mettre en place les mesures nécessaires pour débuter l’année scolaire, soit à distance ou en présentiel.
Par ailleurs, il nous a assuré que « le présentiel est conditionné par le strict respect des mesures barrières, à savoir la distanciation physique, le port obligatoire du masque aussi bien pour les élèves que les enseignants, et la désinfection des différentes structures scolaire ». En outre, le présentiel sera caractérisé par un système de rotation en vue d’empêcher la surcharge des classes.
Concernant l’enseignement à distance, le ministère de l’Education Nationale, prévoit de nombreux dispositifs en ligne pour assurer le bon déroulement des cours, comme la plateforme «TelmidTice», les chaines nationales, etc.
Qu’en est -il du milieu rural ?
M. Rayane explique qu’en vue d’assurer l’égalité des chances, les jeunes apprenants des zones rurales de Tanger-Assilah, n’ayant pas accès aux moyens de technologies et font face à plusieurs contraintes, bénéficieront de l’enseignement présentiel. Le « E-learning » ne leur sera pas disponible.
D’abord, parce que ces régions ne connaissent pas une hausse importante des cas positifs à la Covid-19, ce qui fait la stabilité de la situation épidémiologique dans ces dernières.
Ensuite, les établissements scolaires de la région contiennent, majoritairement, qu’une vingtaine d’élèves par classe, et ce, permet de respecter le protocole sanitaire prévu par le ministère de tutelle. Pour celles abritant au-delà de de 35 élèves, la direction provinciale procédera automatiquement à l’enseignement par rotation.
Enfin, les élèves relevant des écoles du monde rural ont ainsi un avantage du fait qu’ils ne sont pas nombreux. Ces derniers ne dépassent pas les 6000 du primaire au collège, tandis que , le milieu urbain, comprend à peu près 3000 élèves dans chaque établissement scolaire. « Serait-il possible d’opter pour un enseignement présentiel dans ce cas-là ? », déclare-t-il.
Il poursuit en indiquant que les prochains jours à venir, jusqu’au 3 septembre, seront décisifs et permettront à chaque équipe pédagogique de mettre en place les mesures nécessaires pour débuter l’année scolaire, soit à distance ou en présentiel.
Par ailleurs, il nous a assuré que « le présentiel est conditionné par le strict respect des mesures barrières, à savoir la distanciation physique, le port obligatoire du masque aussi bien pour les élèves que les enseignants, et la désinfection des différentes structures scolaire ». En outre, le présentiel sera caractérisé par un système de rotation en vue d’empêcher la surcharge des classes.
Concernant l’enseignement à distance, le ministère de l’Education Nationale, prévoit de nombreux dispositifs en ligne pour assurer le bon déroulement des cours, comme la plateforme «TelmidTice», les chaines nationales, etc.
Qu’en est -il du milieu rural ?
M. Rayane explique qu’en vue d’assurer l’égalité des chances, les jeunes apprenants des zones rurales de Tanger-Assilah, n’ayant pas accès aux moyens de technologies et font face à plusieurs contraintes, bénéficieront de l’enseignement présentiel. Le « E-learning » ne leur sera pas disponible.
D’abord, parce que ces régions ne connaissent pas une hausse importante des cas positifs à la Covid-19, ce qui fait la stabilité de la situation épidémiologique dans ces dernières.
Ensuite, les établissements scolaires de la région contiennent, majoritairement, qu’une vingtaine d’élèves par classe, et ce, permet de respecter le protocole sanitaire prévu par le ministère de tutelle. Pour celles abritant au-delà de de 35 élèves, la direction provinciale procédera automatiquement à l’enseignement par rotation.
Enfin, les élèves relevant des écoles du monde rural ont ainsi un avantage du fait qu’ils ne sont pas nombreux. Ces derniers ne dépassent pas les 6000 du primaire au collège, tandis que , le milieu urbain, comprend à peu près 3000 élèves dans chaque établissement scolaire. « Serait-il possible d’opter pour un enseignement présentiel dans ce cas-là ? », déclare-t-il.