Le Maroc se classe après les Etats-Unis, le Royaume-Uni, l’Australie et la Suisse, comme une destination majeure pour la recherche et le développement dans les nouvelles technologies. Un rang que le Royaume doit à son dynamisme et ses compétences dans le domaine des technologies de l’information, a indiqué la ministre déléguée chargée de la Transition numérique et de la Réforme de l’administration, Ghita Mezzour, en réponse à une question orale sur “la stratégie du gouvernement pour encourager et attirer les investissements dans le secteur numérique”, présentée lundi à la Chambre des Représentants.
La ministre a souligné l’importance de la position stratégique et de la richesse du Royaume en termes de compétences et d’énergies jeunes dans le domaine de la numérisation, ainsi que sa position parmi les trois premières entités dans le domaine de l’outsourcing en Afrique, notant que ce secteur emploie 120.000 personnes.
Nouveau souffle aux investissements
La responsable gouvernementale a précisé qu’outre les investissements marocains, le domaine de la digitalisation attire les investissements de plusieurs pays, dont les Etats-Unis, la France, le Canada, le Royaume-Uni, l’Espagne, le Japon et l’Inde. Ainsi, le ministère de la Transition numérique et de la Réforme de l’administration cherche, en coordination avec l’ensemble des partenaires et à un rythme soutenu, à conclure des partenariats afin de redynamiser l’investissement au Maroc.
Le programme «Made in Morocco » a, en effet, accéléré cette tendance. Le pays est en train de devenir l’un des marchés émergents les plus importants et à la croissance la plus rapide, en particulier dans des secteurs tels que les énergies vertes et les automobiles. Les entreprises mondiales investissent leurs ressources R & D pour concevoir et fabriquer des produits spécifiquement destinés au marché indien.
Ainsi, « Made in Morocco », combiné aux politiques marocaines visant à attirer les investissements directs étrangers (IDE), qui est un pilier important de la politique de développement économique du pays, est une proposition de valeur attrayante que les entreprises ne peuvent ignorer.
Dans ce sens, Mezzour a évoqué les protocoles d’accord qui ont été signés entre le gouvernement et quatre entreprises internationales pour investir dans le domaine du transfert de services et créer plus de 5.000 emplois directs et permanents, notamment à Tanger, Fès, Rabat, Casablanca et Agadir.
Dans ce contexte, la ministre a salué les efforts déployés au niveau international, rappelant sa récente visite en Inde, premier pays et première destination au monde dans le domaine des services de transport, marquée par la signature d’un protocole d’accord avec une société indienne pour lancer un projet d’investissement au Maroc qui vise à créer des milliers d’emplois à haute valeur ajoutée dans le domaine du codage, des logiciels informatiques et des services informatiques.
Paysage numérique : où en est le cadre juridique ?
Mezzour a également évoqué la visite de Safra Catz, présidente et directrice générale de la société américaine “Oracle”, au Royaume, et l’inauguration du premier laboratoire R & D « Oracle Lab » en Afrique, faisant partie de ses six centres dans le monde. Si l’expansion du paysage numérique et l’essor de la technologie au sein des entreprises apportent d’énormes avantages économiques, elle s’accompagne de risques. Être accessibles numériquement en gérant les procédures administratives numérisées, les identités numériques et les données sensibles exposent inévitablement chaque entreprise et ses données privées à différentes formes de risque cyber.
La ministre a rappelé qu’il a été procédé, samedi dernier, à la signature de deux conventions pour la mise en place d’une école de programmation et de codage et d’un centre incubateur émergent au niveau de la région de l’Oriental. Par ailleurs, le ministre a fait savoir que le Maroc travaille à compléter le cadre juridique de la confiance numérique des usagers et de la souveraineté numérique du Royaume, en plus de sa participation à plusieurs accords internationaux dans ce domaine.
La ministre a souligné l’importance de la position stratégique et de la richesse du Royaume en termes de compétences et d’énergies jeunes dans le domaine de la numérisation, ainsi que sa position parmi les trois premières entités dans le domaine de l’outsourcing en Afrique, notant que ce secteur emploie 120.000 personnes.
Nouveau souffle aux investissements
La responsable gouvernementale a précisé qu’outre les investissements marocains, le domaine de la digitalisation attire les investissements de plusieurs pays, dont les Etats-Unis, la France, le Canada, le Royaume-Uni, l’Espagne, le Japon et l’Inde. Ainsi, le ministère de la Transition numérique et de la Réforme de l’administration cherche, en coordination avec l’ensemble des partenaires et à un rythme soutenu, à conclure des partenariats afin de redynamiser l’investissement au Maroc.
Le programme «Made in Morocco » a, en effet, accéléré cette tendance. Le pays est en train de devenir l’un des marchés émergents les plus importants et à la croissance la plus rapide, en particulier dans des secteurs tels que les énergies vertes et les automobiles. Les entreprises mondiales investissent leurs ressources R & D pour concevoir et fabriquer des produits spécifiquement destinés au marché indien.
Ainsi, « Made in Morocco », combiné aux politiques marocaines visant à attirer les investissements directs étrangers (IDE), qui est un pilier important de la politique de développement économique du pays, est une proposition de valeur attrayante que les entreprises ne peuvent ignorer.
Dans ce sens, Mezzour a évoqué les protocoles d’accord qui ont été signés entre le gouvernement et quatre entreprises internationales pour investir dans le domaine du transfert de services et créer plus de 5.000 emplois directs et permanents, notamment à Tanger, Fès, Rabat, Casablanca et Agadir.
Dans ce contexte, la ministre a salué les efforts déployés au niveau international, rappelant sa récente visite en Inde, premier pays et première destination au monde dans le domaine des services de transport, marquée par la signature d’un protocole d’accord avec une société indienne pour lancer un projet d’investissement au Maroc qui vise à créer des milliers d’emplois à haute valeur ajoutée dans le domaine du codage, des logiciels informatiques et des services informatiques.
Paysage numérique : où en est le cadre juridique ?
Mezzour a également évoqué la visite de Safra Catz, présidente et directrice générale de la société américaine “Oracle”, au Royaume, et l’inauguration du premier laboratoire R & D « Oracle Lab » en Afrique, faisant partie de ses six centres dans le monde. Si l’expansion du paysage numérique et l’essor de la technologie au sein des entreprises apportent d’énormes avantages économiques, elle s’accompagne de risques. Être accessibles numériquement en gérant les procédures administratives numérisées, les identités numériques et les données sensibles exposent inévitablement chaque entreprise et ses données privées à différentes formes de risque cyber.
La ministre a rappelé qu’il a été procédé, samedi dernier, à la signature de deux conventions pour la mise en place d’une école de programmation et de codage et d’un centre incubateur émergent au niveau de la région de l’Oriental. Par ailleurs, le ministre a fait savoir que le Maroc travaille à compléter le cadre juridique de la confiance numérique des usagers et de la souveraineté numérique du Royaume, en plus de sa participation à plusieurs accords internationaux dans ce domaine.
Kawtar CHAAT